Commentaire de Pierre Chazal
sur La fabrique du consentement : de la partouze entre amis au viol de la démocratie
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@Yann Esteveny
A choisir, je dirais nos braves petits soldats improvisés de 1914-18. Peguy, Apollinaire, Alain-Fournier, Giono, Montherlant et tant d’autres qui ne sont pas « planqués ». Peut-être que je me trompe et que j’idéalise, mais il m’apparaît que la France avait une âme à cette époque, et même une belle âme...