Commentaire de Pere Plexe
sur Pourquoi l'anticomplotisme est-il en échec et doit y rester 1re partie
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Le clivage complotistes/anticomplotistes s’accentue
Non.
Seulement le terme, devenu péjoratif, n’est appliqué qu’a ceux qui, quel que soit le sujet, s’oppose à la doxa, à la position « officielle ».
Indépendamment du niveau de preuve sur le sujet d’un coté ou de l’autre.
Par exemple vous pouvez affirmer que Navalny est la victime d’un complot Poutinien : ce n’est pas complotiste.
En revanche s’étonner que le fameux Novitchok échoue à tuer est complotiste ( alors que justement vous doutez du complot qu’on vous sert)
Surtout il est , sur ces sujets, impossible d’avoir une position « médiane » .
Par exemple ce pauvre Pr Caumes qui explique qu’il n’est en rien anti vaccin mais qu’on a (avait : ça date de quelques jours) pas assez de données pour vacciner sereinement ce fait immédiatement étriller : le doute n’est plus permis.
Douter d’un message officiel, même à la marge, c’est basculer du coté obscur.
Dans ces conditions impossible de débattre, de nourrir la réflexion, de mettre en doute.
Il faut avaler sans barguigner.