Commentaire de Legestr glaz
sur Vaccins, la grande pagaille...


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Legestr glaz Legestr glaz 22 décembre 2020 18:35

@Fergus

C’est vrai, ce n’est pas nécessairement simple à comprendre mais, effectivement, une compréhension des mécanismes en oeuvre est au delà de la portée d’une majorité de personnes. 

Il faut donc croiser les informations venant de différentes sources. La propagande étatique, elle, tout le monde l’a compris, appuie la vaccination et va même la rendre obligatoire piétinant ainsi le code de Nurenberg. 

https://blog.laurentvercoustre.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/06/covid-19-des-vaccins-a-haut-risque/

https://www.businessinsider.fr/le-medecin-en-chef-de-moderna-avertit-que-le-vaccin-nempechera-pas-la-transmission-du-virus-185911

Les petits ARN en épingle à cheveux (shRNA) sont des ARN adoptant une structure en tige et boucle pouvant être utilisé pour réduire l’expression d’un gène cible via phénomène d’interférence par ARN.
Les thérapies basées sur des shRNA doivent faire face à plusieurs défis. Le plus important est celui du mode d’administration. Les shRNAs sont typiquement délivrés grâce à un vecteur et même s’ils sont généralement efficaces, ils posent certains problèmes de sécurité. En particulier les thérapies géniques basées sur l’utilisation de virus se sont révélées dangereuses lors de précédents effets cliniques.

La syncytine, un « rétrovirus » permet au placenta de se développer lors de la gestation humaine. Si le vaccin ARNm « détraque » la syncytine, ou que le corps réagit en attaquant la syncytine, la gestation humaine ne pourra pas avoir lieu. 

Parmi les protéines humaines produites par des séquences virales intégrées dans le génome humain, on trouve les syncytines. Ces protéines ont des propriétés fusiogènes (vestiges des gènes ’env’) et joueraient un rôle dans la formation du placenta. Elles auraient également des propriétés immunosuppressives, essentielles pour une interface mère-enfant.
Le gène codant pour la syncytine (ERVWE1) se trouve sur le chromosome 7.

Des gènes d’origine rétrovirale ont été « capturés » au cours de l’évolution et apparaissent jouer un rôle essentiel dans la formation du placenta.

Il n’existe à ce jour aucun élément de preuve concernant l’efficacité des vaccins et leur innocuité. En particulier, les vaccins à ARN (il s’agit d’injecter dans le corps une séquence d’ARN qui “dicte” à nos cellules de construire des antigènes) comme ceux de Pfizer / BioNTech représentent une nouvelle technologie très contestée qui n’a jamais été utilisée chez l’humain. Nous serions alors des cobayes, et nous rentrerions dans une nouvelle ère : les humains génétiquement modifiés !

Vous et moi, Fergus, n’avons vraiment plus grand chose à craindre de ces vaccins ARN. En revanche, si le « projet » est d’empêcher la population humaine de croire, alors la thérapie génique, dont la maitrise est acquise depuis peu, permettra de rendre le femme infertile et de stériliser les hommes. Finalement, nos « descendants » sur cette planète auront, peut être, une belle vie, bien organisée, dans une population planétaire réduite à 1 milliard d’individus. C’est dans l’intervalle qui nous sépare de ce futur jardin d’Eden, que viennent les difficultés. Tout cela passera par pertes et profits. 

Christophe Arnoult, au sein du laboratoire AGeing, Imagery and Modeling (AGIM, CNRS/Université Joseph Fourier/École pratique des hautes études Paris), met en évidence le rôle majeur joué par le gène DPY19L2 dans la globozoocéphalie spermatique. Sous ce nom barbare se cache un des syndromes d’ infertilité masculine, caractérisé par la production de spermatozoïdes à tête ronde incapables de féconder l’ovule.
Le gène DPY19L2 pourrait également devenir une cible pour de nouveaux contraceptifs masculins non hormonaux, qui agiraient en bloquant son expression ou l’action de la protéine dont il code la synthèse, ce qui aurait pour effet d’empêcher la formation de spermatozoïdes féconds, imaginent les chercheurs. Un tel contraceptif pourrait demain voir le jour, un brevet protégeant ce concept ayant été déposé en novembre 2009.

Et non, ce n’est pas de la science fiction !


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