Commentaire de ETTORE
sur La folie des glandeurs
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On devrait s’intéresser plus amplement à ce qui traine sur la petite table du salon.
Ce genre de poussière blanche immaculée, qui une fois sniffée, vous propulse dans un monde à plusieurs dimensions, et dont vous occupez le centre radieux.
Les autres sont des « mouvants » qu’on peut se permettre d’haranguer de la voix, avec l’illusion que l’obéissance découle de l’ordre, comme si il s’adressait à Alexia !