Commentaire de Bernard Grua
sur Un cas emblématique du discours pakistanais de haine raciale et religieuse contre une minorité et contre les Occidentaux


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Bernard Grua Bernard Grua 9 avril 2021 14:10

@Pauline pas Bismutée
Oui, c’est le monde à l’envers. Accuser un Français de terrorisme au Pakistan, il fallait oser ! Mais cela montre bien l’usage que l’on peut faire d’une législation, qui, a priori, semblerait opportune.

C’est un cas particulier, pour nous Français. Le discours de haine de Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam, est habile, car il agglomère toutes les causes. Il surfe sur les grands thèmes de société en jouant sur les émotions. Akhtar n’a pas manqué de tweetter ses « dénonciations » à Malala Yousafzai, espérant l’utiliser, même si, par-ailleurs, jouant de l’islamo-nationalisme, elle n’a pas hésité à vouer aux gémonies la prix Nobel, comme nuisant à la réputation du Pakistan sur le plan international. Il me semble avoir répondu, à certains des tweets me mettant en cause. Mais il y en a eu tellement. J’en perds le fil. De toute façon, les objectifs de Malala Yousafzai concernent la cause féminine et, surtout, l’éducation des jeunes-filles. Je comprends bien qu’un homme, français qui plus est n’entre pas dans son champ de préoccupation. Elle a déjà fort à faire et est,elle même, en danger.

Beaucoup plus choquant, à mon avis, est l’indifférence de la police et de la municipalité de Nantes, destinataires principaux des dénonciations calomnieuses, que j’ai sollicitées à différentes reprises. Lire :« Harcèlement pakistanais islamiste à Nantes, nouvelle demande d’aide et de protection à la municipalité ». La seule « réponse », scandaleuse, que j’ai reçue fut celle de Bassem Asseh, premier adjoint au maire. Le bougre m’a menacé de poursuite judiciaire pour diffamation.


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