Commentaire de wpjo
sur Art : Un faussaire de génie
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"Le marché de l’Art n’est pas la Bourse, il répond à de nombreux aléas dont celui de la mode. Les Dernières cartouches de Neuville, tableau acheté 200.000 francs-or en 1890, fut revendu 3.900 francs à l’Hotêl Drouot en 1949 !
"
Comme il y a une siècle quand Guimet avait ramassé dans les arrière-cours des temples japonais sa collection de sculptures — juste bien à brûler selon les Japonais —mais qui vaut aujourd’hui son poids en or. Ou peut-être, dans un siècle — ou non ?! — quand l’Afrique rachètera tout ce que le Musée Jacques Chirac va sortir pour les poubelles.
Bref, pour l’Art il n’y a qu’un seul critère : est-ce que VOUS l’aimez ? Et que votre goût soit ’bonne’ ou ’mauvaise’ n’a pas d’importance.