Commentaire de Jean Keim
sur Régression sociale généralisée et fascisation des esprits


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Jean Keim Jean Keim 16 mai 2021 09:17

<< La France, dans le cadre d’un capitalisme en crise, tend lentement vers un régime que personne ne sait encore comment qualifier. >>

France, capitalisme ne sont que des concepts, auxquels on peut rajouter État, société..., des individus que des élections ont mis au pouvoir, et pour des intérêts qui ne sont pas ceux qu’ils sont censés défendre, instaurent un mode de gouvernance par la violence, en a-t-il seulement déjà été autrement ?

Opposer à cette violence une résistance par la violence est voué à l’échec, le composant d’un mouvement, d’une organisation, d’un « isme » quelconque est toujours l’individu, qu’il doit dominant ou dominé, il agit toujours en réaction, en suivant son mode de penser.

Bientôt sur terre 8 milliards d’êtres humains, soit autant de façon de penser différentes, espérer unifier ce pandémonium est tout simplement une illusion, notre seul espoir est de percevoir que nous sommes le jouet de notre mode de penser.

Pour faire simple cherchons à comprendre en quoi consiste penser, est-il si difficile de percevoir que les pensées d’un quidam étant différentes de celles d’un autre quidam, ils sont tous les deux dans un processus identique, et tant qu’ils resteront dedans jamais ils ne se rencontreront, jamais ils ne seront des êtres humains de bonne volonté, ils n’est pas important de convaincre les dirigeant, ils sont dans leur carcan mental, tant pis pour eux et rien n’est irrémédiable, mais chacun individuellement nous pouvons en sortir et si nous changeons, le monde aussi changera.


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