Commentaire de Abolab
sur Danger : les vaccins ARNm pourraient génétiquement modifier des bactéries intracellulaires déjà associées à des maladies dégénératives
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@Eric F
Il s’agit d’une étude observationnelle sur le personnel de santé, en première ligne dans la pandémie, dans six pays (Etats-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni et Espagne). D’après cette étude, les personnels de santé ayant l’alimentation la plus végétale à base d’aliments entiers (whole foods, plant-based diet) ont 73% moins de risque d’avoir une forme grave de COVID, tandis que les pescétariens ont 59% moins de risque d’avoir une COVID grave.
Les régimes faibles en végétaux et riches en viandes ou les régimes cétogènes comme ceux promus par Legestr glaz, que certains personnels de santé, bien mal informés sur la nutrition, apparemment suivent également, accroissent quant à eux de 48% les risques d’avoir une COVID grave.
Cela n’est pas nouveau ni surprenant, la littérature scientifique abonde déjà depuis des décennies d’études observationnelles, épidémiologiques ou interventionnelles montrant qu’une alimentation végétale est bénéfique dans la prévention mais également le traitement des maladies dégénératives, incluant tous les facteurs de risque pour la COVID. Cela ne fait qu’ajouter à la masse énorme d’études scientifiques montrant que l’alimentation végétale est le seul outil de santé publique digne de ce nom, fait qui est pourtant ignoré et non relayé par les autorités de santé publique et les médias qui auto-censurent toute information à ce sujet.
Les entreprises pharmaceutiques (Big Pharma) disposent de milliards d’euros pour faire des études (largement publicitaires) sur leurs molécules, mais il n’y a pas de « Big Végétaux » pour faire des études sur l’alimentation végétale. Il n’y a que très peu de financement pour de telles recherches et encore moins en France. Et lorsqu’il y a des recherches, les décideurs qui protègent l’agriculture actuelle et font des lois contre l’agri-bashing
les ignorent tout en se faisant les promoteurs de l’industrie pharmaceutique et agro-alimentaire, leurs alliés objectifs dans la perpétuation des maladies dégénératives dans la population, qui en temps de pandémie, entraîne des millions de morts précoces qu’il est pourtant possible de prévenir.