L’immigration est un vaste problème.

Si après guerre, elle était quasiment une obligation pour reconstruire le pays, elle n’est plus nécessaire depuis longtemps et surtout plus aujourd’hui, ou le taux de chômage est trop important et le Pays n’est pas « riche ».

Du fait de notre « révolution » cette pseudo prise de pouvoir par la peuple, formant les bases du L.E.F gravé sur les frontispices de tout les bâtiments publics.

Donc « la France terre d’accueil c’est une tradition » ! Associé à une honte de notre passé colonial, tel est le slogan que l’on rabâche depuis 1981.

Ont en vient donc à une « immigration » incontrôlée, dont une partie vient aussi d’anciennes colonies ou une certaine génération souhaite vivre sur le sol de cette terre de liberté et de bénéficier de ses bienfaits.

Pourquoi pas, mais quand le pays a déja beaucoup de mal à subvenir aux besoins de ses occupants natifs, « je prendrais par exemple, la problématique des anciens, si certes ont vit plus vieux, rapidement ont devient en réalité à un moment une charge », bref c’est très bien d’avoir ce genre de pensées d’accueil mais faut-il d’abord en avoir les moyens.

Prenez comme exemple la Capitale, terreau des bien-pensants prônant l’accueil à « tout-va », laisse des « migrants » dans ses rues (évidemment que ces gens ne sont pas présents partout, surtout dans les quartiers ou vivent ces biens pensants), et dès que leur présence devient gênantes, solution trouvée le placement ailleurs en prétextant de meilleures conditions.

En réalité, ils nous font chi..r, mettons les ailleurs.

Le dit placement ailleurs étant parfaitement cautionné par l’état, uniquement localisé dans la Capitale, cela favorisant les ordres d’expulsions et de réquisitions dans les départements « accueillants ».

C’est vrai que le jeune Guinéen rêvant de vivre dans la capitale de la terre de liberté doit avoir une sacrée désillusion dans les premiers temps, il vivait dans sa case la peur au ventre de voir surgir des milices locales, il vit désormais dans la peur des forces de l’ordres. Certes sa vie n’est plus en danger.

Et quand il se retrouve un jour « placé » dans un village de 300 habitant d’une commune du fin fond du Berry, située en zone blanche en plus. Ben la désillusion doit être complète voire totale.

Mais cela active chez certains un sentiment de satisfaction tout à fait personnel d’avoir fait une bonne action en donnant « asile » à une personne dont la durée de vie dans son pays en conflits perpétuels aurait été plus courte.

Ces gens, se sentent grandis d’avoir déplacé le problème ailleurs en fait !

Personnellement quand je vois les sommes dépensées pour cette idéologie alors que dans le Pays pas mal de personnes ont du mal à joindre les deux bouts chaque mois, je ne parle même pas du sort de certains retraités, j’ai un peu de mal à accepter. Et il n’y a dans mes propos, aucun racisme, xénophobie de ma part.

Toutefois j’ai quand même remarqué que ceux qui partagent le plus, ne sont pas les plus riches loin de là, alors que ceux qui prône l’accueil lors d’un interview dans leur hôtel particulier, ou derrière leur bureau statufiant leur position, portant gentiment 3000 euros de vêtements sur eux ne font que parler et ne font rien d’autres alors « qu’ils » le pourraient.