Commentaire de Taverne
sur Succès et limites de la vaccination, les illusions de l'immunité collective


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Taverne Taverne 13 septembre 2021 14:44

Il semble donc se confirmer que la vaccination des enfants et des jeunes leur est néfaste. Elle contrecarrerait leur nature. Si le vaccin réduit leur temps d’immunité, cela va servir les intérêts des laboratoires. Ce n’est pas complotiste que de dire cela, c’est un fait si l’étude citée est valide. L’immunité naturelle par le virus chez les jeunes durerait ainsi bien plus longtemps que celle que procure le vaccin. Résultat (si les études le confirment) : les jeunes devront recevoir d’autres doses ?

Ma méthode pour décider ou non de proposer la vaccination (si j’étais aux manettes) :

1 Critère de la pertinence

Pour un individu ou groupe d’individu donné (vieux, malades, jeunes, etc.), le vaccin est-il :

Vital / Nécessaire / Superflu / Néfaste ? (cocher la case correspondante au cas)

2 Critère de l’opportunité

Pour une période donnée ou une « région » donnée, le vaccin s’impose-t-il ? Par exemple en période de circulation importante du virus, ou autre exemple dans les zones et endroits de brassage important. Si le vaccin s’impose : à qui ? (voir critère 1 de limitation). D’autres réponses thérapeutiques ou de prévention sont-elles possibles et efficaces ?

Ces deux critères sont à manier avec précaution. Il ne faut pas confondre le critère d’opportunité (qui est adapté et proportionné aux situations) avec celui de l’opportunisme. Mais je constate que c’est le plus souvent davantage l’opportunisme (le confort, la « facilité ») qui a poussé le gouvernement à obliger à se vacciner et aux personnes à se faire vacciner (opportunisme des loisirs et de la consommation entre autres). Avec ce critère de l’opportunisme, on a laissé entendre que les vaccinés pourraient jeter le masque : impardonnable erreur.

Ma méthode couvre toutes les options et les paramètres (socio-économiques, juridico-philosophiques, psychologiques) alors que le fameux critère « bénéfice risques » dans lequel on nous enferme n’est que médical.


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