Commentaire de Ben Schott
sur Les cent ans de Georges Brassens
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@Francis, agnotologue
Ma préférée aussi, qui me renvoie toujours à ce magnifique court poème de Baudelaire À une passante.
Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
O toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais !