@2 de pique

copié-collé : « On peut cependant leur attribuer une relative utilité au niveau des hospis et des décès. »

Voilà la phrase « magique » lorsque l’on veut sauver ce qui ne peut même pas l’être ! Voilà la phrase magique, sortie de nulle part, qui n’a aucune validité parce que son propos est vide de sens, parce que « non prouvé » au plan scientifique. Personne, absolument personne n’a été en mesure de présenter une étude qui montrerait une efficacité minimale en terme de mortalité. Cela n’existe pas ! Mais en le répétant comme un perroquet, peut être que certains vont se laisser berner et influencer. 

Mettre sur le compte d’une moindre létalité d’un nouveau virus, ou d’un effet moisson précédent, une relative efficacité concernant les hospitalisations et les décès reste du domaine du mensonge et du bavardage inepte. 

Parce que, si c’était le cas, les preuves abonderaient. Mais hormis la « répétition » façon Goebbels, il n’y a strictement aucune preuve. 

Et je l’avais dit et écrit, ici même, qu’il me tardait de voir arriver la saison automne/hiver 2021—2022, pour constater que les personnes sensibles, hélas, allaient, comme « chaque année », succomber aux attaques des virus respiratoires saisonniers. Parce que ce qui est au centre de la fragilité de ces personnes dites « sensibles » face aux attaques virales, c’est tout simplement la dérégulation de leur glycémie. Et plus cette dérégulation s’est étalée sur le temps, comme chez de nombreuses personnes âgées, et plus les risques de mourir des attaques des virus respiratoires aérosols sont grands. 

En présence d’une glycémie « normale », les risques de mourir d’une attaque virale sont pratiquement nuls ! Vraiment nuls ! Et ça, de très très nombreuses études scientifiques le montrent et le démontrent, mais, chut, il ne faut pas l’ébruiter parce que cela scellerait le destin de « l’injection génique » absolument inutile !