Bien au contraire, les élèves « risquent » de profiter de ces rappelés souvent « exceptionnels » car formés à l’ancienne. En 1969, gamin de 6e (le « petit lycée » à l’époque), je découvrais un vieux monsieur auguste, grand, chenu, un cavalier de la guerre de 14, volontaire pour prendre en charge des classes alors vraiment surchargées et donc — parfois — dédoublées. Ce Monsieur, M. Wanesson, je le cite, m’a laissé le goût du français, de ses mots, de l’origine de ses mots, de l’Histoire de France et — osons-le mot — de la grandeur de notre Nation... un patriotisme raisonné et non pas aveugle, mais indéfectible...