Commentaire de Adèle Coupechoux
sur La haine pour gouverner
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@Lynwec
Depuis le début de cette crise, nous avons été obligés de gérer cette crise collectivement pour de peurs individuelles.
Comme celle de l’auteur qui finit par comprendre qu’après les non vaccinés viendront tous les autres qui coûtent encore plus chers aux états...
L’auteur oublie aussi que ce qui est bon pour sa santé ne l’est pas forcément pour les autres :
" un état de complet de bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».