Commentaire de Legestr glaz
sur Contaminations, formes graves, effets secondaires : pour chaque nouveau mensonge, quinze aveux pitoyables !


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Legestr glaz Legestr glaz 18 janvier 2022 18:31

@pemile

Vous auriez posté la recette des moules marinières que cela aurait été aussi stupide.

Quel rapport trouvez vous entre votre lien et la production d’IgG « spécifiques » anti-spike par l’organisme ??? Une petite réponse ? 

Je le répète : les virus « coronavirus à ARN à simple brin ont une capacité de mutation extrêmement rapide. C’est bien de cette façon que les nouveaux mutants »échappent« au contrôle des IgG »spécifiques« produites par l’organisme contre une autre protéine du virus. 

Vous faites semblant de l’ignorer ou de ne pas comprendre. Mais les faits sont têtus : les IgG antispike produites par l’organisme, en réaction aux injections actuelles sont »spécifiques« (si vous comprenez ce qualificatif) à la protéine spike du SARS-COV2 mais, hélas, hélas, hélas, trois fois hélas, elles ne sont pas du tout »spécifiques« de la protéine de pointe d’Omicron. C’est une réalité scientifique. Que l’on veuille le dissimuler, c’est une chose, mais nier sa réalité en est une autre. 

Votre lien est un mensonge absolu et vous savez pourquoi ? Parce que les IgG »spécifiques« produits dans l’organisme n’ont strictement aucune incidence avec l’immunité de première ligne. Et, par conséquent, si le virus se développe dans les voies respiratoires, que vous ayez des wagons d’IgG anti-spike dans le sang, que cela ne changera rien, absolument rien, du point de vue de la prolifération des virus dans vos voies respiratoires et que vous serez, au moins, aussi contagieux qu’un non injecté ! 
Ce document, que vous postez, est une supercherie, un déni à la science, un déni au fonctionnement de l’immunité des voies respiratoires. »Covidtracker« ne constitue pas une parution scientifique mais se présente, plus exactement, comme un organe de propagande.

Et c’est bien parce que les IgG circulent dans le sang que leur production pouvait, lorsqu’il s’agissait du SARS-COV2, avoir un effet sur les formes graves parce que » forme grave« signifie que le virus a pénétré dans l’organisme et passé la barrière de la défense immunitaire de première ligne des voies respiratoires. Mais les injections n’ont jamais pu éviter qu’un sujet »injecté« ne soit pas contagieux et ne transmette pas la maladie ! Parce les IgG anti-spike ne sont pas en rapport avec l’immunité de première ligne. Voilà, voilà !

Mais le SARS-COV2 avait déjà muté et disparu lorsque les premières injections ont commencé. L’organisme a eu beau produire des IgG anti-spike que cela n’a pas pu protéger quiconque, parce que ces IgG n’étaient pas »spécifiques" à la protéine de pointe des nouveaux variants. 

C’est facile d’abuser les gens qui n’ont pas de connaissance en biologie. Mais quel lien foireux !


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