Commentaire de PascalDemoriane
sur Ne me parlez pas de grand remplacement, ce ne peut exister


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PascalDemoriane 26 janvier 2022 12:35

Les classes oligarchiques du capital mondial et leur valets politiciens ou idéologues communiquants n’ont aucune autre vision anthropologique, anthropométrique, démographique et civilisationnelle que celle de leurs intérêts et de la pérénisation de ces intérêts. Il n’y a rien à en attendre, absolument rien ! Pour ces gens illuminés, l’humain comme l’ensemble de la biosphère, est au mieux un gisement exploitable, au pire, une externalité négative. Du bétail surnuméraire, quoi.

L’explosion démographique et la massification humaine dégradante est une conséquence de la révolution industrielle techno-sociale capitaliste qui ne connaitra pas de solution, de maîtrise de régulation dans ce cadre du capitalisme aujourd’hui financiarisé en crise terminale, en fuite en avant dans l’irréel.

Sorti de ces prémisses contextuelles, toutes considérations sur les migrations de masse n’est que littérature, et le « grand remplacement » est une idée littéraire, dramatique et esthétique, locale respectable mais pas scientifique. Faut pas mélanger les plans.

L’étude des migrations est malheureusement lieu d’obscurantisme entretenu, et un thème de répression idéologique et dogmatique terrifiant, de néo-fascisme cognitif et intellectuel, y compris universitaire. L’axe général se résume ainsi : « ce que vous vivez corporellement et sensoriellement n’existe pas, seule le discours savant dominant fait réalité ». Discours de gauche ou de droite, d’ici ou d’ailleurs, savant ou profane peu importe ! Le réel doit rester conforme !

Prolétarisation mentale paroxystique, l’humain ainsi vu, en particulier dit « blanc » n’a même plus droit à la conscience de sa réalité biologique, anthropologique : être autochtone quelque part c’est déjà être débiteur du capital migrant de la valeur liquide apatride marchande et totalitaire.

D’un côté la non-migration est devenu un statut de tolérance, une dhimitude sédentaire suspecte largement taxée... Et d’un autre côté, la migration est un vecteur de marchés aussi inépuisable qu’occulte : l’étau du capital entretien les problèmes qui lui rapportent pour imposer les solutions qui le confortent.


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