Commentaire de I.A.
sur Omicron BA.1 et BA.2 ; la nouvelle donne épidémique et l'avenir éclairci


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I.A. 26 janvier 2022 17:04

« Les patients ont des maux de tête, une fièvre absente à modérée, une toux, des courbatures et une farigue intense à modérée. Les symptômes nasopharyngés s’estompent en quelques jours mais la fatigue peut persister une semaine ou plus »

Ce laïus ressemble plus à un « mode d’emploi » pour test suivi d’un arrêt maladie à rallonge, qu’à de la modeste sémiologie de chez nous pour un bête rhume, par exemple.

Les hommes, il y en a des grands et des petits, des gros et des minces, des vieux (et même des très âgés qui ne comptent pas pour du beurre, dans ces vieilles histoires de grippe...) et des jeunes. Il y en a même qui sont blancs, pendant que d’autres sont jaunes ou noirs. Il se raconte aussi que certains ont un QI hors norme, tandis qu’il serait tout juste moyen pour les autres. On dit que certains habitent des contrées où les températures sont le plus souvent négatives, alors que d’autres vivent dans des endroits où les températures baissent rarement en-dessous de 30°...

Ah, j’allais oublier : il en existe même qui sont malades AVANT tout Omicron ou tout rhume (eh oui, on les oublie systématiquement, ceux-là, comme les gros !), pendant que les autres ont le culot, figurez-vous, d’être parfaitement bien-portants... Si, si.

Donc, malgré toutes ces différences, vous semblez dire :

  • Qu’ils ont tous des symptômes
  • Et que ces symptômes sont plus ou moins tous les mêmes

Et vous savez quoi ? Ça ne fait vraiment pas sérieux. Du tout, du tout, Bernard.

Au fait, « la fatigue qui persiste une semaine ou plus », ça s’appelle de la flemmardise ou de la posture, point.


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