Commentaire de velosolex
sur Great Reset : après l'été viendra le froid et la faim


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velosolex velosolex 4 août 2022 00:50

@moonhaven
Apprends à écrire convenablement Français, en n’oubliant pas les pluriesl, ou contente toi du Russe. Les ruskofs ont clairement pris la place des nazis dans l’horreur impensable. Dernières saloperies dans cette scène de crimes de guerres qu’est devenu l’Ukraine :

Tous les principes de sûreté ont été violés d’une manière ou d’une autre » à la centrale de Zaporijia, s’inquiète le patron de l’AIEA

Lundi, le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, avait accusé la Russie d’utiliser cette centrale, la plus grande d’Europe, « comme une base militaire pour tirer sur les Ukrainiens en sachant qu’ils ne peuvent pas riposter parce qu’ils risqueraient de frapper un réacteur nucléaire ou des déchets hautement radioactifs »« Cela porte la notion de bouclier humain à un niveau complètement différent et terrible », avait-il ajouté, insistant pour que l’AIEA ait accès au site

Ce qui est bien sûr impossible, tout autant que d’accéder à la prison où ces salopards ont liquidé une cinquantaine de prisonniers Ukrainiens du groupe azof, en lâchant très probablement, une bombe thermobarrique dessus, tout en accusant l’Ukraine.

Très bon article de libération sur le sujet, (extrait) :

Des allégations immédiatement niées par Kyiv. « Les forces armées d’Ukraine, qui adhèrent pleinement aux principes et aux normes du droit international humanitaire, n’ont jamais procédé et ne procèdent pas à des bombardements d’infrastructures civiles, en particulier dans des endroits où des prisonniers de guerre sont susceptibles d’être détenus », a assuré l’armée dans un communiqué. Le ministère ukrainien des Affaires étrangères est allé plus loin en accusant directement la Russie d’être à l’origine de la frappe  : « La Russie a commis un autre crime de guerre terrifiant en bombardant un établissement correctionnel dans la région occupée d’Olenivka où elle détenait des prisonniers de guerre ukrainiens », a assuré Dmytro Kouleba sur Twitter.Le renseignement ukrainien a également diffusé un communiqué le 29 juillet dans lequel est pointée plus directement la responsabilité des mercenaires de Wagner, des supplétifs de Moscou qui opèrent largement en Ukraine. Toujours selon ces informations, cet acte serait parfaitement volontaire et aurait eu pour objectif principal de dissimuler un détournement des fonds dédiés à la gestion des prisonniers de guerre.Les victimes tuées à Olenivka n’étaient pas n’importe quels captifs, mais, pour la plupart, des survivants du siège de Marioupol. Ces soldats du régiment Azov avaient été élevés au rang de héros nationaux en résistants aux assauts russes, terrés dans les entrailles de l’usine métallurgique d’Azovstal, jusqu’à la reddition des derniers combattants le 20 mai. Leur détention avait largement été mise en scène par la Russie. En cause, le régiment Azov, fondé par des néonazis, est au cœur du narratif martelé par la propagande russe qui prétend que l’invasion a pour but de « dénazifier » l’Ukraine.Deux versions s’affrontent donc, mais plusieurs éléments remettent directement en cause celle avancée par Moscou. Selon eux, c’est un tir ukrainien qui a tué ces prisonniers, et plus précisément un ou des missiles lancés à l’aide d’un Himars. Problème  : l’analyse du lieu de l’incident contredit cette version. Elle a notamment été menée par Marc Garlasco, conseiller militaire à PAX, une ONG néerlandaise. Cet ancien du Pentagone spécialisé dans l’analyse post-frappe a enquêté pour les Nations unies sur des crimes de guerres commis en Afghanistan, en Irak, en Syrie ou encore en Libye. Il forme également des enquêteurs qui opèrent actuellement en Ukraine.



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