@Joséphine
La vie dans les monts d’Arée est ce qu’elle est. Pas désagréable du tout. 2000 hectares brûlés, c’est dommage, c’est sûr, mais ça reste anecdotique en rapport avec la castastrophe systémique. Elle n’empéche pas les touristes de venir, attirés par l’espace, le calme, et les températures qui restent agréables. Ce ne sont pas les pires. Des amoureux de la nature, de la marche à pied et du vélo. 
En tout il faut avoir une intelligence discursive, et voir les causes premières, au risque de tout mélanger, dans de beaux sophismes
Les incendies sont un risque, et tout le monde les redoute. Néanmoins ils sont vécus différement que ceux d’Ukraine. Les premiers sont dus à la fatalité, les incendiaires restant anecdotiques. Ceux d’Ukraine sont liés à des pyromanes qui ont pris le pouvoir en Russie, et qui menacent même le monde entier du feu nucléalire en enfermant leurs chars et leurs canons dans l’enceinte de la plus grande centrale nucléaire européenne. « Une forme de suicide collectif », jugent la plupart des observateurs. 

« L’armée russe a pris ses quartiers dans la centrale nucléaire de Zaporijia, la plus grande d’Europe avec ses six réacteurs. Et bien malin qui saura l’en déloger sans provoquer une catastrophe environnementale. « Après l’avoir prise d’assaut le 4 mars, ils ont immédiatement installé des tanks et des dépôts de munitions à l’intérieur de la centrale, de manière à s’assurer que personne n’osera tirer. Ils s’y sentent à l’aise et prennent la population en otage », peste Dmitry Orlov, 37 ans, maire d’Energodar, ville mitoyenne de la centrale » Extrait du journal Le Monde

Votre fascination pour les salopards et les ordures, de tous sexes, en disent plus sur vous que sur ce qui se passe la bas...Les particules qui vont retombées n’épargneront ni les uns ni les autres. Après l’hystérie, viendra le temps des pleurs. La Russie a toujours aimé les monstres. Le Raspoutine de Poutine est dans la suite logique. « Qui souflle sur les braises récolte la tempéte ! »