Commentaire de mosel
sur La trilogie Mugdunoise
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L’ane et le chardon
un jour de l’automne dernier, un chardon tout en fleurs fut atteint par la foudre.
Survint un ane : Encor,si c’etait ce pommier dont les fruits de mon maitre abreuvent le gosier, je rirais de le voir ainsi reduit en poudre, mais un chardon, quel ! meurtre ! un passant l’entendit malpeste ! cria -t-il a la bete de somme,comme un grain d’egoisme aux gens ouvre l’esprit ! Vous etes, mon grison, moins ane qu’on ne dit, et vous raisonnez comme un homme
FILLEUL DES GUERROTS