Commentaire de Fergus
sur Hommage à mon chat, ce « petit être » qui a partagé notre vie ... et l'a changée aussi
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Bonjour, Jérôme Henriques
Je ne parle pas de gens nécessairement hospitalisés mais qui — que ce soit en établissement ou chez eux — subissent des souffrances indicibles, non pas durant quelques semaines, mais des mois, parfois plus d’une année.
Des souffrances que rien ni personne n’est en mesure d’atténuer suffisamment.
C’est notamment le cas des personnes atteintes de la terrible maladie de Charcot dont l’issue irréversible après de très longs mois de souffrances et de paralysie progressive est la mort par étouffement.
Personnellement, je suis contre l’« euthanasie active », excepté dans de très rares cas de personnes atteintes de pathologies irréversibles en état végétatif. Mais très demandeur de « suicide assisté » — autrement dit la mise à disposition d’un produit létal — pour les malades qui en ont fait la demande et dont l’état incurable a été dûment constaté par un collège de médecins.