Commentaire de Fergus
sur Hommage à mon chat, ce « petit être » qui a partagé notre vie ... et l'a changée aussi
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Bonjour, Aristide
Il ne s’agit pas de « comparer homme et animaux » mais de souligner qu’il est aberrant de refuser à l’un (un être vivant doué de sensibilité) ce que l’on met en oeuvre par compassion pour les autres (des êtres vivants eux aussi doués de sensibilté).
« Pour supprimer la souffrance, vous supprimez celui qui la subit !!! »
Archi-faux ! C’est celui qui subit cette souffrance, et lui seul, qui décide de la supprimer par l’ingestion d’un produit létal !!!
J’ajoute que vous savez très bien que les « soins palliatifs » sont réservés aux personnes en toute fin de vie (quelques jours, tout au plus deux à trois semaines avant le décès) mais n’existent pas pour les malades incurables qui ont encore de longs mois de souffrance devant eux. C’est d’ailleurs ce qu’a reconnu le Comité d’éthique en se prononçant pour une réforme de la loi !!!