@Bertrand Loubard bonjour,
 Vous avez pu comprendre que ce texte allait un peu à contre-courant de la situation anxiogène dans laquelle nous vivons.
  Je le répète, il n’y a aucune action et invention humaine exempte de points positifs et négatifs. Il faut faire le tri et la balance comptable qui doit toujours égaliser le débit et le crédit.
  Merci pour avoir rappelé Pierre Teilhard de Chardin qui a été contemporain de Orwell et Uxley. Votre lien parle du transhumanisme. C’est aussi un sujet que j’ai essayé de traiter dans Le transhumanisme seulement pour vivre plus longtemps ? 
  Quand la population progresse exponentiellement par les deux bouts de la vie et atteint aujourd’hui, 8 milliards d’individus, par l’intermédiaire et l’aide de la médecine pour préserver la vie des nouveaux nés et prolonger la vie des aînés, il y a de réelles questions à se poser. Les conséquences de la surpopulation ne semble pas avoir été évoquées ni par Uxley ni par Orwell.
  Lundi, j’ai regardé le film « Le ciel peut attendre » version 1943. A cette époque, à 60 ans, on était considéré comme vieux avec la mort comme conséquence.
  Le billet sur mon site de journal sera légèrement différent aussi.
Bien à vous