quelques éléments supplémentaires pour répondre par avance aux détracteurs du type pemile ou autres titi qui vont dire que je fais des affirmations non prouvées concernant les « exigences » américaines de « recentrage » vers la Crimée des troupes de l’Ukraine.

Contre-offensive : l’OTAN prend (presque) officiellement le contrôle des opérations

« Il y a quelques jours, certains des plus hauts gradés de l’armée de l’OTAN se sont rendus dans un lieu secret à la frontière polono-ukrainienne pour rencontrer le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valery Zaloujny », explique (https://www.theguardian.com/world/2023/aug/26/how-uk-military-chief-became-key-nato-liaison-in-ukraine-tony-radakin) le Guardian.

L’objectif : redéfinir la stratégie de Kiev - devenue top coûteuse financièrement et politiquement à ses sponsors - et se focaliser sur « un front principal », à Zaporodje.

Washington ayant déjà fait (https://www.nytimes.com/2023/08/22/us/politics/ukraine-counteroffensive-russia-war.html?smid=nytcore-ios-share&referringSource=articleShare) cette injonction, arguant que les forces ukrainiennes étaient trop dispersées sur le front.

Element notable, cette discussion s’est tenue sans le général Mark Milley, interdit de déplacement par la Maison-Blanche, qui « ne veut pas apparaître comme partie prenante au conflit ».

Le leadership a donc été pris par son homologue britannique Tony Radakin, Londres n’ayant n’a « pas de telles préoccupations », selon le Guardian.