Le mythe donc trouverait son origine dans un mythe plus ancien qui lui même aurait suivi le même chemin, etc., et ainsi on remonterait à une époque antique très ancienne, quasi oubliée, où un enseignement devenu incompris a été habillé d’une histoire plus ou moins imaginée faute de mieux et pour ne pas admettre que le message originel est perdu et/ou donc perverti ; parfois le symbole présentent une analogie avec le mythe, surtout si également dans les esprits il masque, comme le mythe, une forme d’ignorance souvent refoulée.

Chaque enseignement spirituel est tôt ou tard habillé d’un accoutrement qui quasiment lui empêche de produire son effet salvateur, là se trouve la racine du mal, le mal chasse le bien, le bien trouve en lui même son pouvoir en dehors d’un devenir, il n’y a pas de demi-mesure, soit le bien est effectif, soit il est remplacé par quelque chose d’autre qui peut avoir l’apparence du bien et nous tromper.

Le mal est le grand mystificateur.