Commentaire de Géronimo howakhan
sur Nouveau projet de l'U.E. : abolir l'histoire


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Géronimo howakhan Géronimo howakhan 27 mai 08:04

Salut, peut t’on partir, repartir de zéro ? faire table rase ! d’un certain passé, celui de la compétition donc de l’élimination donc de la guerre comme du reste, genre destructions, tortures, etc ?

 oui, pour ce faire il suffit de coopérer avec équité et bien plus a minima sur l’organisation x ou y etc de la vie pratique physique, manger, s’abriter, se vêtir et ce genre de choses. Ceci demande un autre état de notre esprit, celui qui est lié avec disons L’Origine pour faire ultra simpliste.

Notre état actuel comme depuis des milliers d’années sur la non route de la vie n’est pas lié à cette « Origine » ultime derrière laquelle il n’y a plus rien d’autre, tout le monde peut voir cela avec une logique simple ..celle ci doit inclure bien sur : « je ne sais pas »..c’est un jeu que je fais depuis assez jeune..cela prends quelques secondes,

Pour le moment encore il me semble mais ? que nous en sommes encore et toujours par choix délibérés globalement à : plutôt crever que de coopérer avec équité !car moi je veux plus..( il y a une ou des causes originelles à cela )

et ce à toutes les strates de la verticalité en valeur argent de ce monde tant désiré par tous sauf exceptions. ultra minoritaires.

Monde que nous faisons semblant de ne pas vouloir ...or ce monde ne peut que être ce que nous sommes devenus et voulons majoritairement, si si, .

A ce stade de bêtise intégrale de notre part, comme sœur Anne , je ne vois rien venir dans le sens du bon, du bien, etc

car en fait il suffira aux truands du sommet, si ils ne sont pas définitivement trop atteints de redonner un peu de pognon à tout le monde et nous rentrerons gentiment à la niche..et continuerons à jouer à tout pour ma gueule et à chacun sa merde, en gros, vie de non sens, de souffrance, de peurs, etc

il n’y a encore pour le moment aucune transcendance, on est encore et toujours dans la phase écroulement, mais sommes dans la déception d’avoir joué à la compétition qui élimine, au Monopoly etc en espérant gagner et d’avoir perdu..

COMPÉTITION = ÉLIMINATION

nous sommes dans la phase « le bal des perdants » et ceci juste pour faire écho à Bossuet :

"Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? Quand on l’approuve et qu’on y souscrit."

( Bossuet, Œuvres Complètes IV, édition Vivès, p. 145, « Histoire des variations des églises protestantes »

)

Mais aussi ceci :

La Boétie, extrait du Discours de la servitude volontaire

, écrit par La Boétie alors que celui-ci n’avait que 18 ans (1574).

)

Pauvres gens misérables, peuples insensés, nations opiniâtres à votre mal et aveugles à votre bien ! Vous vous laissez enlever sous vos yeux le plus beau et le plus clair de votre revenu, vous laissez piller vos champs, voler et dépouiller vos maisons des vieux meubles de vos ancêtres ! Vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous. Il semble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies. Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette ruine, ne vous viennent pas des ennemis, mais certes bien de l’ennemi, de celui-là même que vous avez fait ce qu’il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres ? A-t-il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes ? Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous ? Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ? Vous semez vos champs pour qu’il les dévaste, vous meublez et remplissez vos maisons pour fournir ses pilleries, vous élevez vos filles afin qu’il puisse assouvir sa luxure, vous nourrissez vos enfants pour qu’il en fasse des soldats dans le meilleur des cas, pour qu’il les mène à la guerre, à la boucherie, qu’il les rende ministres de ses convoitises et exécuteurs de ses vengeances. Vous vous usez à la peine afin qu’il puisse se mignarder dans ses délices et se vautrer dans ses sales plaisirs. Vous vous affaiblissez afin qu’il soit plus fort, et qu’il vous tienne plus rudement la bride plus courte. Et de tant d’indignités que les bêtes elles-mêmes ne supporteraient pas si elles les sentaient, vous pourriez vous délivrer si vous essayiez, même pas de vous délivrer, seulement de le vouloir.

  Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres. Je ne vous demande pas de le pousser, de l’ébranler, mais seulement de ne plus le soutenir, et vous le verrez, tel un grand colosse dont on a brisé la base, fondre sous son poids et se rompre.

ALEA JACTA EST..............carthago delenda est.. ce Carthage c’est nous...

si vis pacem para panem..


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