Cette année, la commémoration n’aura pas la dignité de celle de 2005, vu l’absence des chefs d’Etat israélien et russe pour cause de mandat d’arrêts, c’est-à dire les représentants de la moitié des victimes et les libérateurs. Ne restent que ceux qui ont fourni le terrain, les gardiens, la technique et les barbelés ! Zélensky, toujours aussi culotté, à appelé à « empêcher le mal de gagner », allusion à la Russie, alors que le culte de de Bandera et Shukhevytch est toujours bien vivant à Lvov. il faut lire soigneusement pour repérer dans cet article du Figaro une allusion à ce qu’on a appelé « la Shoah par balles », et lire tout aussi complètement cet article de Wiki pour comprendre que ce n’étaient pas des nazis allemands seuls mais d’abord initié par leurs sous-fifres, des nazis ukrainiens.

Morceaux choisis de Wiki :

"Les gouvernements ukrainiens successifs ont été réticents à entretenir la mémoire du massacre, choisissant au contraire, par anticommunisme ou russophobie, de glorifier l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), décrits comme des combattants de la liberté et des nationalistes en dépit de leur participation à l’Holocauste.

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 »Mais ce qui n’est pas mentionné, c’est l’idéologie xénophobe et antisémite de l’OUN, qui décrivait les Juifs comme un « corps majoritairement hostile au sein de notre organisme national », ou que la milice de l’OUN-UPA a collaboré et a également massacré 100 000 citoyens polonais, juifs, russes… au nom d’une Ukraine ethniquement pure »27.

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 »Arno Klarsfeld a dénoncé le changement de nom de rues, qui mènent de Kiev à Babi Yar, en Stepan Bandera et en Roman Shukhevych"