Commentaire de Tolzan
sur Les OQTF, le nouveau mot magique qui rapporte gros en politique
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Ce texte de Med Kamel Yahioui est de la même veine que ses écrits passés. Je conseille de consulter par exemple le site :
https://www.babelio.com/livres/Yahiaoui-Le-Petit-Fellagha/963652
qui donne la présentation suivante de son roman "le petit fellagha" :
"Fellagha
est le nom donné aux maquisards algériens pendant la guerre d’Algérie.
Le parcours romancé d’un enfant de douze ans qui
devient, un peu plus de trois ans plus tard, un combattant pour l’indépendance
algérienne.
De l’insouciance de cette enfance qui baignait
dans un esprit d’amitié, de camaraderie et de fraternité malgré une injustice
sociale avérée à l’égard des autochtones jusqu’à l’affrontement des idées et
des armes entre ceux là mêmes qui étaient, quelques années plutôt, dans leur
habit d’enfants, unis comme les doigts d’une même main.
Une succession de situations qui le mène d’un
simple rôle estafette à celui d’ auteur d’attentats et enfin rejoindre le
maquis au côté des révolutionnaires algériens."
Finalement, dans son article paru aujourd’hui sur AV et dans ce roman, Med Kamel Yahioui nous réchauffe du Jamel Debbouze ! Tout simplement ! C’est toujours et encore directement ou en filigrane l’Algérie martyrisée par ces salauds de Français, ces tueurs responsables de tant d’atrocités, qui les ont massacrés pendant tant d’années, ce qui n’a pas empêché des millions d’Algériens de se réfugier après l’indépendance chez leurs bourreaux. Étonnant non ?
« le petit fellagha » mériterait bien sûr une adaptation cinématographique (financée évidemment par l’argent public) et qui ferait 1000 entrées avant d’être retirée des salles …. comme le furent les glorieux films de Djamel !