L’idée n’est pas si bête qu’il n’y paraît. Le côté business d’abord ; l’enclave de Gaza ne possède aucune ressource naturelle, seuls le tourisme ou les services économiques pourraient en faire un Singapour, un Dubaï ou encore un Luxembourg, avec les paradis fiscaux , le tourisme, et les emplois en dérivant. Car Gaza vit sous perfusion depuis des décennies.

L’avantage politique serait immense, l’Iran perdrait son chiffon rouge, et le monde arabe perdrait une partie de son anti-occidentalisme, car l’argent parlerait et l’intérêt de ces pays pétroliers serait canalisé vers une plate-forme économique à haut rendement . Les hydrocarbures ne dureront pas éternellement, et ils le savent.

Reste la population et le Hamas, question délicate, mais toute personne (morale ou physique) a son prix. Car il reste à faire du Proche-Orient une zone post-hydrocarbures, Hamas ou pas.