@John

Très bon commentaire.
Vous êtes pragmatique comme le Président TRUMP qui a compris que ce n´est pas la peine de se battre contre cette machine de guerre qu´est la Russie, cette machine de guerre qui gagne toujours ces guerres, alors que faut-il faire ? Sinon
s´entendre avec la Russie quitte á sacrifier l´Ukraine.

Ce n´est pas grave si l´Ukraine n´existera plus dans sa forme ancienne, la Yougoslavie aussi n´existe plus sous son ancienne forme, fracturée en plusieurs états, cela n´empêche pas le monde de continuer sa course, c´est juste un détail de l´histoire que nos arrières-petits enfants apprendront et ceci dans l´indifférence comme ceux qui apprennent aujourd´hui l´histoire des africains envoyés comme esclaves dans plusieurs pays, comme celle de Palestiniens écrasés sous les bombes sionistes, comme celle des indiens d´Amérique du Nord génocidés, comme l´histoire des Aborigènes d´Australie parqués encore dans des parcs comme des animaux, ou celle des Tasmaniens oú il n´existe plus de Tasmaniens de souches, le dernier une femme, est morte en 1874, ceci pour dire l´ampleur du génocide de ce peuple, qui s´en occupe ou s´en souci aujourd´hui de toutes ces histoires tragiques ? Peut être sauf @micorf, mais même, juste pour rappeler ces faits.

Il faut être pragmatique et non idéologue.
Les Dirigeants occidentaux sont des idéologues, dans leurs têtes, il faut détruire la Russie et ceci même lorsqu´ils voient qu´ils ne le pourront jamais, car il ne faut pas faitre une grande école pour savoir que l´Europe ne pourra jamais vaincre la Russie, mais comme dans leurs têtes il n´ya que l´idéologie et non le pragmatisme, alors, ils veulent pousser jusqu´au bout quitte á se suicider.

Arrive le pragmatique TRUMP qui n´a jamais fait de grandes écoles, constate avec sa Sagesse pragmatique populaire que s´il continue avec la Russie sur l´actuelle lancée, il va faire perdre même le peu qui reste pour son pays, alors, il change, et
c´est bien.
Quant á l´Europe manquant de Dirigeants pragmatiques, sera laissée á la traine, tant pis pour elle, car qui cherche trouve.