Commentaire de SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
sur Maintenant, ça suffit !


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Laurent Brayard

Voici une fiche biographique de mes travaux sur la 5e colonne, les fossoyeurs de la République, les criminels de l’information et les agents atlantistes ou européistes : Madeleine Leroyer (14 juin 1984-), Originaire de Brest, elle fit des études supérieures, dans une des pires officines des chiens de garde du système, à Sciences PO, diplômée de l’IEP de Paris. Elle s’installa à Moscou (2008-2014), correspondante pour de nombreux médias du système, notamment pour RTL et Le Figaro, mais aussi pour BFMTV, RFI, Huffington Post ou Radio Suisse Romande. En 2012, elle écrit un livre « Une vie de Pintade à Moscou », s’affichant dixit comme « féministe », dans plusieurs interviews.

Elle fut au cœur d’un scandale lors du surgissement de l’affaire du vétéran Nikolaï Vassenine (mars-avril 2013). Après avoir écrit 7 articles sur ce vétéran des maquis de la Drôme, ancien soldat de l’Armée rouge, originaire de la région d’Ekaterinbourg, alors vivant à cette date, je fus contacté par cette « journaliste ». Le vétéran âgé de 94 ans avait affirmé avoir aimé une française, Jeanne Monnot, dans le village de Saint-Sorlin-en-Valloire (1943-1944).

Le premier article titrait : « Un vétéran russe à la recherche d’un amour perdu… dans la Drôme ». Mais après avoir retrouvé la famille de Jeanne, et des témoins, il fut clair qu’aucune histoire d’amour n’avait eut lieue entre Nikolaï et Jeanne (juste à sens unique). Un second article corrigea bientôt le tir, suivis de 5 autres sur les compagnons de Vassenine. Ayant expliqué en long, large et travers cette histoire et la problématique à Madeleine Leroyer, elle ne prit pas compte de mon récit et se focalisa sur « l’histoire d’amour ».

Le soir même, elle réalisa un petit reportage pour RTL reprenant la fausse histoire d’amour, sans citer mes articles, ni mon travail, ni mon nom, ni mon média. Pour faire des vues et de l’audimat, elle préféra se concentrer sur cette histoire plus vendeuse. Les conséquences furent graves : le fils de Jeanne, André fit une longue dépression, en proie à des doutes sur sa filiation, et fut le sujet de rumeurs et de moqueries ignobles dans son village (sur le fait que Jeanne aurait été un femme facile, courant plusieurs hommes). Par la suite, France 3 Rhône-Alpes, mais aussi Radio France Bleu Drôme-Ardèche et jusqu’à l’AFP emboîtèrent le pas. Le seul amour de Jeanne fut le maquisard Denis Brunet, tué au combat en août 1944. Jeanne fut épousée ensuite par son frère, Robert (vivant lui aussi en 2013).

Elle s’improvisa réalisatrice (vers 2013-2015), et intégra l’Accelerator Lab de la fondation US Chichen&Egg Pictures (vers 2017-2018). Cette fondation américaine était spécialisée dans la promotion de l’idéologie LGBT, et du sexisme, déguisé sous le nom de féminisme. Rassemblant plus de 500 réalisateurs, elle est financée par d’autres fondations américaines menant à l’USAID, la NED, etc. (l’Emerson Collective, The Jonathan Logan Family Foundation, Netflix, la Perspective Fund, etc.).

Elle fut l’auteur d’un film russophobe de basse propagande dénommé Russie, le Goulag moderne (2013), et d’un film pour Arte, Numéro 387 (2019). Dans la foulée de ce film, elle lança une campagne sur le sujet des migrants et familles séparés (également financée par des fondations, de France, et avec l’argent de fonds européens). Elle signa un 3e film, Votez ou Perdez (2021, Arte), dans le but de soutenir la propagande étatique contre les abstentionnistes, et de les marginaliser et stigmatiser. Le film fut primé par Les Étoiles de la Scam, de LaScam autre fondation ayant des ramifications en France Belgique et Canada, également liée à l’idéologie LGBT (et brassant des millions d’euros, via la gestion de droits d’auteurs en collectif). Cette fondation gère notamment des droits d’auteurs de l’INA, l’AFP, Radio France, Public Sénat, LCP et France TV, tous dépendants de l’État français.


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