Commentaire de Alain Malcolm
sur Considérations wokes militaires


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Alain Malcolm Alain Malcolm 17 mars 19:04

Tiens j’ai demandé à ChatGPT de t’aider ça vaut ce que ça vaut :

L’auteur se propose, dans un style aussi acerbe qu’insolent, d’interroger la logique sous-jacente aux courants idéologiques contemporains et à l’hégémonie d’un libéralisme qui se veut à la fois économique et culturel, tout en dénonçant l’écueil de simplifications réductrices qui, selon lui, occultent les véritables dynamiques du pouvoir. Il commence par affirmer que le mouvement woke, loin d’être un phénomène voué à disparaître, persiste dans ses ambitions et ses ramifications, contredisant ainsi ceux qui, en réaction à l’ascension de figures telles que Donald Trump, espèreraient en un renversement définitif de cette idéologie. En soulignant que la popularité de Trump ne s’explique pas uniquement par une opposition symbolique au « woke » mais aussi par une évaluation pragmatique de politiques économiques susceptibles d’apaiser le porte-feuille moyen à court terme, l’auteur refuse de réduire les enjeux à une simple dichotomie idéologique.

Il dénonce par ailleurs l’attitude provincialiste de ceux qui, vivant dans des contextes nationaux fragilisés, se permettent d’assigner à l’élection américaine une portée rédemptrice pour leurs propres sociétés, alors que, selon lui, ces événements ne sauraient que révéler la complexité des rapports de force internationaux. En effet, il met en lumière l’ironie d’un libéralisme qui, sur le plan économique comme sur celui de la culture, prône l’autonomie individuelle tout en refusant toute solidarité, pointant du doigt la supercherie de ceux qui critiquent une logique d’auto-suffisance tout en se présentant comme les dépositaires d’une révolution authentique.

L’auteur étend ensuite sa critique aux mécanismes de déviation et de diversion orchestrés par d’importantes mégacorps, lesquelles, en désignant Trump ou Elon Musk comme boucs émissaires, masquent habilement leur propre implication dans la déstabilisation géopolitique et l’appropriation des ressources à l’échelle mondiale. Il évoque, avec une verve crue et parsemée de néologismes familiers, la transformation de l’espace politique en un théâtre où les apparences et les postures pseudo-révolutionnaires servent à dissimuler un ordre économique implacable, orchestré par des acteurs que le jargon médiatique désigne d’un terme qu’il ne saurait que mépriser.

À travers cette diatribe, il ne saurait s’agir d’une simple opposition entre des camps antagonistes, mais plutôt d’une invitation à une lecture plus lucide et complexe des rapports de forces, où se conjuguent héritages historiques, intérêts économiques et stratégies médiatiques. Ainsi, il nous convie à repenser la notion même de « woke » en la dépouillant de ses connotations réductrices pour en révéler l’interdépendance avec une logique de pouvoir qui transcende les clivages apparents, et ce, sans céder à la tentation de l’amalgame simpliste qui caractérise les discours populistes.


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