Commentaire de Eric F
sur La bataille entre Office Mondial du Commerce et Office International du Commerce est relancée
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@Marc Dugois
Il y a en effet une création en cascade, la somme prêtée sert à des paiements qui sont en partie placés sur d’autres comptes et engendrent à leur tour un effet levier pour des prêts, cela sur plusieurs étages.
Mais il y a des freins, les prêts sont bornés en fonction des avoirs de la banque, plus libéralement qu’avant 71, mais pas à l’infini.
Vous écrivez ’’Il fallait en effet 35 dollars [en 1971] pour acheter une once d’or quand il en faut aujourd’hui 3000’’ ça fait une multiplication par 85, les prix pour leur part ont été multipliés environ par 10 sur la même période, alors il y aurait 8 à 9 fois plus de masse monétaire qu’aurait donné l’ancien système ? Mais combien de fois plus de biens tangibles pérennes et consommés ?
Sur un autre aspect, j’ai parlé de la richesse virtuelle créée par la bourse notamment sur le long terme. La plus value simplement lié à l’effet de gonflement peut être retirée et dépensée, devenant de l’argent réel (limité, car si tout le monde retire la bourse plonge, mais le cumulé de plus value retirée sur une longue période est finalement bien de la création monétaire).
Il y a en plus des choses que je connais mal, comme la spéculation instantanée.
Oui, les banques profitent car elles empochent les intérêts, qui sortent des poches de l’emprunteur, en plus des placements qu’elles font pour le propre compte avec les avoirs des clients -je suppose que c’est règlementé-