Il faut alors : (i) une planification économique à l’échelle nationale, (ii) une étatisation des secteurs de production, (iii) un soutien aux artisans et petites et moyennes entreprises (PME), (iv) instaurer des échanges entre Nations souveraines (v) lutter contre les forces du capital. 

Cela s’appelle le gaullisme.

C’est justement l’existence de la droite (de l’argent) et de la gauche (à l’époque de la revanche), qui ont raboté jusqu’à l’os son patrimoine matériel laissé à la nation et celui immatériel (idéologique) par le jeu constamment renouvelé des compétitions électorales renforçant les acharnements pathologiques d’un côté comme de l’autre.

Résultat : tout le monde pleure les fruits disparus du gaullisme.

La sortie, c’est Macron qui l’a trouvée, mais par le mondialisme et les lois décidées par l’argent, auxquels les nations où vivent les peuples faisaient obstacle. C’est à dire l’inverse du gaullisme. Et comme la majorité des Français conchient les chiffons délavés de la droite et de la gauche que le système politico-médiatique entretient, le macronisme a de beaux jours devant lui.