@Armelle
Considérons les déficits publics et sociaux en début et en fin de mandat de chacun des présidents. Je parlais donc de la situation en fin de mandat de Hollande, le déficit public était revenu sous les 3% (2,6% en 2017 dont Macron a hérité) les comptes sociaux étaient proches de l’équilibre.
Alors c’est forcément doublement douloureux, d’où l’impopularité : hausse de prélèvements et baisse de prestations (loi travail, réforme Touraine...). Mes impots avaient effectivement augmenté à l’époque, mais avec Macron, aussitôt arrivé en retraite après son élection j’ai eu droit à une hausse de CSG et plusieurs années de gel ou sous-indexation, et pourtant les déficits flambent.