Commentaire de Legestr glaz
sur Trump : Les ferments d'une guerre
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@Julian Dalrimple-sikes
Bonjour Julian
Oui les « bombes amies », l’angle « mort » des bombardements « alliés ». Des villes entièrement rasées, comme Brest. Des morts et des blessés. Mais de ceci, il n’est pas très souvent question.
Merci pour ce rappel historique.
Pendant la 2ème guerre mondiale, Brest a été détruite à plus de 95%. Entre 1940 et 1944, 165 bombardements ont pilonné la ville. Rien que pendant le siège d’août à septembre 1944, 30 000 bombes et 100 000 obus se sont abattus sur Brest en 45 jours.
Sur les 16 500 immeubles existant avant-guerre, seuls 200 étaient encore debout, dont 4 seulement dans le centre-ville. Les habitations de plus d’un siècle sont donc rarissimes à Brest. Pourtant, dans ce déluge de feu, une rue a été en partie miraculeusement épargnée, avec 13 immeubles encore debout sur une centaine de mètres. Une rue ordinaire au destin insolite. La rue Saint-Malo.