Commentaire de Mustik
sur Islamo-gauchisme : un mot creux pour un débat piégé
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@Aristide
Les OQTF suivis d’effet les plus importants en valeur absolue seraient les Comoriens. C’est ce qui permet aux commentateurs politiques de gonfler les chiffres globaux. La France paye le Président comorien pour qu’il récupère ses ressortissants.
Cette info, je ne l’ai entendue qu’une seule fois...
En fait, les politiciens mentent comme ils respirent c’est admis mais, pour les media aucune chaine ne déroge à la règle. D’ailleurs, les animateurs sont bridés par l’oreillette : hier Pascal Praud, citait une information de Marine Lançon (responsable d’Edition) transmise par l’oreillette.
Une autre fois, un invité répondant à une animatrice a été brutalement interrompue par celle-ci ... les commentaires de l’invité glissaient vers une description tragique d’un conflit. Par une deuxième question en rafale, elle a coupé court à ce moment d’émotion « politiquement incorrect ».
Je rappelle cette déclaration datant de... 1880 dans la « glorieuse » démocratie US :
À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :
« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »