Commentaire de Octave Lebel
sur Ce qui ne va pas avec la condamnation de Marine Le Pen


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Octave Lebel Octave Lebel 19 avril 09:48

Sinon, un peu plus factuel.

Pas besoin de la fable du plafond de verre.

Tout un petit aréopage de politiciens ambitieux finissant par croire aux fables répandus par leur propagandistes grassement payés par des oligarques, les Hanouna, les Praud et compagnie, qui se sont crus devenus imbattables et intouchables à l’abri et sous la protection des sondages que leurs amis leur fabriquent. Avec le tort de croire que cela suffit à nous retourner la cervelle jusqu’ à oser invoquer un Martin Luther king. En nous rêvant en transe, à genoux ? Un parti et des hommes et des femmes qui ont décidément bien du mal à changer. Tout agités encore des vieux réflexes d’antan dans les moments difficiles où l’on voit justement la solidité et la cohérence d’une force politique. Jamais 2 sans 3, c’est fait. Deux examens ratés dans un exercice difficile et paradoxal il est vrai, s’afficher l’adversaire d’un dirigeant politique dont on veut juste la place au service des mêmes maîtres et qui n’a pas de mal à montrer qu’il connaît mieux le service et ses ficelles. Et maintenant, l’adversaire mis hors jeu par la constitution, cramer comme une allumette de façon spectaculaire une réputation de justicier intransigeant qui avait demandé tant de représentations. Pas besoin de la fable du plafond de verre.

 


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