Commentaire de Mervis Nocteau
sur François, le pape rebelle : une révolution inachevée pour l'Église catholique
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Oui, il faut saluer chez François, la ligne de crête employée, entre tradition et modernité. D’aucuns méjugeront cela pour « jésuitique », mais Jésus-même, était un sacré Serpent, à parcourir des lignes de crête devant les pharisiens. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles, je suppose que les premiers initiés chrétiens n’ont pas tenu à révéler l’avènement du Serpentaire astrologique à l’époque-même où le christianisme triomphait dans la Rome. Ce qui conduit à s’interroger, aussi, sur Samaël.