@ Fanny

Cette définition du Robert est totalement éculée dans la mesure où a été mise en débat depuis au moins 2 ou 3 décennies la notion de « suicide assisté ».
Celui-ci implique la volonté du malade et sa part active dans l’acte — c’est lui ou elle qui ingurgite ou s’injecte (via un cathéter) le produit létal — alors que l’« euthanasie » est donnée à un malade passif, soit parce qu’il réduit à un état végétatif irréversible, soit parce qu’il est totalement paralysé et ne peut recourir physiquement au suicide assisté.

Personnellement, je suis pour « suicide assisté » mais contre l’« euthanasie », excepté dans les cas que je viens de mentionner (avec accord du paralysé dans le second).