Le « reportage » de Greenpeace / fesse bouc me dérange un peu.

La zone étant interdite, comment 2 messieurs d’un certain âge ont-il pu y pénétrer et en tenue légère en plus pour photographier : vêtements de ville, le mieux protégé s’étant contenté d’un bonnet. Plus au moins le caméraman qui les filme.

D’où sortent les images du supposé intérieur de la centrale à l’accès totalement prohibé ?

Les images du dôme ne présentent qu’un faible impact alors qu’il est question d’incendie majeur. Notons l’absence de vues aériennes par satellite ce qui est curieux pour l’oxydentalissime et otaniste bien pensant Greenpeace qui en pareil cas eût sans aucun doute pu en obtenir.

Donc pour simplifier, s’agirait-il de montage pur et simple de bric et de broc ou de réalité vraie ?