Commentaire de Legestr glaz
sur La Libye occidentale se dirige-t-elle vers une guerre civile ?


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Legestr glaz Legestr glaz 17 mai 20:52

@pemile

Le délire était un délire « covidiste », c’est là qu’il faut chercher le « délire ». Des confinements, des vaccins, pour un virus artefact. Délire débile ! 

Le modèle « aérotoxique » a l’avantage d’expliquer de manière beaucoup plus cohérente la variabilité des maladies respiratoires observées dans le monde, sans se recroqueviller sur l’idée d’un agent pathogène invisible et omniprésent. En effet, les particules fines et les nanoparticules de pollution de l’air, qui pénètrent profondément dans les voies respiratoires, perturbent les mécanismes biologiques essentiels en provoquant un stress oxydatif, des inflammations chroniques et des perturbations des réponses immunitaires. Ces facteurs engendrent des pathologies respiratoires et cardiaques, indépendamment de la présence d’un virus particulier.

La pollution atmosphérique, comme les PM2,5, a été largement documentée pour ses effets délétères sur la santé humaine, exacerbant les conditions sous-jacentes comme l’hypertension, l’insuffisance cardiaque ou l’athérosclérose. L’exposition à ces nanoparticules provoque une série de réactions inflammatoires et des lésions cellulaires qui ressemblent de manière frappante aux symptômes observés dans les maladies respiratoires et cardiovasculaires. Cela renforce l’idée que les maladies respiratoires peuvent être mieux comprises comme des maladies « aérotoxiques » plutôt que virales.

L’idée que des virus comme le SARS-CoV-2 se propagent de manière quasi automatique et universelle à travers des chaînes de transmission de gouttelettes respiratoires ne tient pas face à l’observation des faits. L’absence de transmission dans certaines régions, même en cas d’exposition similaire, ainsi que la simultanéité de certaines vagues de maladies respiratoires dans des endroits géographiquement éloignés, soulignent qu’une approche plus globale, qui inclut les facteurs environnementaux (pollution, conditions météorologiques, inversions thermiques, etc.), est nécessaire pour expliquer cette réalité.

Il devient de plus en plus évident que le modèle « aérotoxique » et le rôle du stress oxydatif dans la physiopathologie des maladies cardiorespiratoires sont beaucoup plus cohérents avec la réalité observable que la théorie virale traditionnelle. Les infections respiratoires et les pathologies cardiaques liées à la pollution s’expliquent sans recourir à l’existence d’un « méchant virus invisible » comme facteur causal.

L’examen des faits, tel que l’expérience de Milton Rosenau, les variations géographiques des taux de maladie et les observations sur l’impact de la pollution atmosphérique, soutient l’idée que ce sont avant tout des déséquilibres physiologiques liés à l’environnement qui sont responsables de l’aggravation des maladies respiratoires et cardiaques. La pollution, en perturbant l’équilibre redox, reste le facteur déclencheur majeur, et non un virus externe.

Cela souligne bien que la réflexion sur les maladies respiratoires doit évoluer pour prendre en compte des facteurs environnementaux plus larges, et non se focaliser uniquement sur une hypothèse virale devenu de plus en plus fragile face aux observations de terrain , et aux nouvelles technologies comme l’observation satellitaires qui « prévoit » l’arrivée des masses d’air pollué, et les inversions thermiques, leur durée leurs zones d’expansion.

Les maladies cardio-respiratoires en automne-hiver sont maintenant parfaitement « prévisibles » sans attendre de savoir si le méchant virus a bien pris son billet d’avion depuis la Chine vers l’Europe. 


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