La Libye occidentale se dirige-t-elle vers une guerre civile ?
Le Gouvernement d'unité nationale (GUN) de Libye, qui contrôle la partie occidentale du pays, a difficilement stabilisé la situation à Tripoli. Le 13 mai, la ville est devenue le théâtre de règlements de comptes entre les chefs de différents groupes armés combattant aux côtés du GUN.
Ces affrontements ont été déclenchés par l'assassinat du chef de l'Appareil de maintien de la sécurité et de la stabilité du Conseil présidentiel, Abdel Ghani Al-Kikli, connu sous le nom de Gheniwa. Il était l'un des commandants de terrain les plus influents de la région occidentale de la Libye et pouvait tout à fait rivaliser en influence avec le Premier ministre du GUN, Abdel Hamid Dbeibah.
À la suite des affrontements à Tripoli, au moins six personnes ont été tuées, selon le centre de soins médicaux d'urgence basé dans la capitale libyenne. Elles ont été tuées dans le quartier d'Abou Salim.
Selon les médias arabes, les affrontements armés ont commencé précisément à cet endroit après une réunion des chefs des formations armées agissant dans l'intérêt du GUN, qui s'est terminée par la mort de l'un des leaders militaires les plus influents de Tripoli, Abdel Ghani al-Kikli. Il entrait souvent en conflit avec les représentants du gouvernement basé dans l'ouest du pays et, selon une hypothèse répandue, aurait pu faire concurrence à Abdel Hamid Dbeibah.
Cependant, peu de gens croyaient à la probabilité d'un attentat contre lui. Les partisans d'al-Kikli estiment qu'il était mort à Tripoli à la suite d'une embuscade délibérée tendue par les partisans de forces concurrentes. Pour cette raison, ils ont attaqué d'autres formations agissant aux côtés du GUN. À la suite des affrontements qui ont duré plusieurs heures, les quartiers généraux de l'Appareil de maintien de la sécurité ont été détruits.
Le gouvernement de Tripoli a qualifié ce qui s'est passé dans la région de la capitale d'opération de stabilisation visant à rétablir l'équilibre des forces. Et Dbeibah, dans sa déclaration officielle, a caractérisé l'événement comme une tentative de renforcer le contrôle de l'État sur Tripoli et de priver de toute légitimité les formations armées agissant de manière indépendante. Les groupes paramilitaires constituent le pilier militaire du GUN, mais il n'y a pas d'entente entre eux : ils se font concurrence pour le pouvoir et les ressources principales. Les hommes d'al-Kikli ne faisaient pas exception.
La Mission d'appui des Nations unies en Libye (Manul) a déjà lancé un appel pour stabiliser la situation à Tripoli. "La Mission d'appui des Nations unies en Libye exprime sa forte préoccupation face à la détérioration de la situation sécuritaire à Tripoli, où des combats acharnés s'intensifient dans des zones densément peuplées", indique un communiqué publié par la mission sur les réseaux sociaux. "La Mission appelle toutes les parties à cesser immédiatement les affrontements et à rétablir le calme." Par ailleurs, la Manul a attiré l'attention des participants aux affrontements armés sur le fait que "les attaques contre les civils et les installations civiles pourraient être assimilées à des crimes de guerre".
Il n'est pas exclu que l'assassinat d'al-Kikli détériore la position internationale de Tripoli, en contraste avec le camp de l'est libyen, avec lequel tous les acteurs internationaux intéressés, y compris la Russie et les États-Unis, tentent d'établir des relations. En avril, un navire de la marine américaine a visité pour la première fois en 56 ans les ports de la Libye orientale dans le cadre d'une visite pacifique. L'ambassade de Russie est opérationnelle à Tripoli. Il est également prévu d'ouvrir une mission diplomatique dans l'est de l'ancienne Jamahiriya.
Anas El Gomati, directeur du groupe de réflexion libyen Institut Sadeq (le premier groupe de réflexion et institut de recherche indépendant au monde spécialisé dans les affaires libyennes), a déclaré sur le réseau social X que les récents événements à Tripoli signifiaient "une restructuration majeure du paysage sécuritaire". "L'Appareil de maintien de la stabilité, dirigé par al-Kikli, contrôlait les points d'accès sud critiques à la capitale et était essentiellement considéré comme la force la plus puissante à Tripoli", a expliqué l'expert. "Son élimination transforme Dbeibah en source dominante de pouvoir en Libye occidentale. Le timing est particulièrement important car les négociations sous l'égide des États-Unis se concentrent sur la possibilité de former un conseil militaire unique entre les factions rivales orientales et occidentales." Selon l'analyste, ce jeu politique modifie l'architecture de sécurité de la Libye occidentale. "Les forces spéciales autrefois dominantes (RADA Special Deterrence Force) sont maintenant de plus en plus isolées, tandis que les groupes armés des villes de Zintan et Misrata se positionnent comme des acteurs capables de combler le vide de pouvoir émergent. Beaucoup considéreront cela comme un retour de Tripoli à l'ère d'avant 2014."
Alexandre Lemoine
Les opinions exprimées par les analystes ne peuvent être considérées comme émanant des éditeurs du portail. Elles n'engagent que la responsabilité des auteurs
Abonnez-vous à notre chaîne Telegram : https://t.me/observateur_continental
Source : http://www.observateur-continental.fr/?module=articles&action=view&id=6911
50 réactions
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PaulAndréG (PàG) 15 mai 19:42
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Deux articles « citoyens » copiés/collés par Pat’Brav’ aujourd’hui… merci Avox et ’BRAVO’ !
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C’est Nabum, Rosemar, Sylvain Rakotoarison, qui pourtant ont leur rond de serviette quotidien, ne parviennent cependant pas à bisser !
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mais qu’a de plus Observateur Continental ?-
Legestr glaz 15 mai 20:50
@PaulAndréG (PàG)
Cela vous dérange que Patrice Bravo se fasse le relai de cet article ??? Quel est le problème ici ?
... Alexandre Lemoine
Les opinions exprimées par les analystes ne peuvent être considérées comme émanant des éditeurs du portail. Elles n’engagent que la responsabilité des auteurs
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Source : http://www.observateur-continental.fr/?module=articles&action=view&id=6911
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pemile 15 mai 21:24
@Legestr glaz « Elles n’engagent que la responsabilité des auteurs »
Amusant ça, toi qui nie l’existence des virus tu n’as pas compris que les auteurs de Observateur continental n’existent pas !
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Patrice Bravo 16 mai 17:02
@PaulAndréG (PàG)
Observateur Continental est justement une information citoyenne !! tralala lala
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Patrice Bravo 16 mai 17:03
@pemile
Du grand n’importe quoi ! Bien sûr qu’ils existent !! t’as bu trop de gnole ukrainienne, ça craint
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Astrolabe 16 mai 18:38
@Patrice Bravo
« Observateur Continental est justement une information citoyenne »
Quel talent comique !
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pemile 16 mai 19:01
@Patrice Bravo « Du grand n’importe quoi ! Bien sûr qu’ils existent !! »
Petits soldats de storm-1516 ?
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Goldo Du 16 mai 19:19
@Patrice Bravo
« Observateur Continental est justement une information citoyenne »
On en finirait par se pisser de rire avec de tels sketchs comiques ! -
Legestr glaz 16 mai 21:52
@pemile
Bonjour pemile, puisque vous êtes là et que vous évoquez les « virus », les « méchants virus », les « très méchants virus » !
Nous avons toutes les preuves que la pollution atmosphérique rend les gens malades. Et pourtant, nous refusons obstinément d’en tirer les conclusions systémiques. Le jour où ce paradigme sera accepté, les cartes de pollution remplaceront les bulletins épidémiques, les purificateurs remplaceront les antiviraux, la prévention deviendra environnementale, pas « vaccinale ».
Chaque année, des millions de personnes dans le monde souffrent de rhinites, bronchites, bronchiolites, crises d’asthme ou de ce qu’on appelle communément « grippe » ou « covid ». La cause officiellement invoquée est un agent infectieux, la plupart du temps un méchant virus.
Mais qu’en est-il des données ? Qu’en est-il des observations de terrain ? Des épisodes récurrents d’« asthme d’orage », de « pics de bronchiolites hivernales », de « poussées de grippes » associées à des « inversions thermiques » ou à des hausses de pollution et à la dégradation de la qualité de l’air, qui nous rappellent sans cesse une vérité qu’on refuse de voir : l’air que nous respirons est pathogène. Le « pathogène est là devant nous yeux ! D’ailleurs les surveillances satellitaires peuvent désormais »prévoir« le déplacement des masses d’air pollué. Elles peuvent prévoir l’arrivée des inversions thermiques, elles peuvent prévoir leur étendue et les régions concernées, elles peuvent prévoir leur durée, elles peuvent prévoir les pics épidémiques et la sur-fréquentation hospitalière.
Certains phénomènes environnementaux récurrents devraient suffire à ouvrir les yeux. L’asthme d’orage, par exemple, provoque des crises respiratoires massives dès que l’air se charge d’humidité, de pollens explosés en nanoparticules et de particules fines. Les bronchiolites hivernales, souvent attribuées à des méchants virus, coïncident systématiquement avec des inversions thermiques et des hausses de dioxyde d’azote. Les pics d’ozone en été entraînent toux, gêne respiratoire et même hospitalisations. La pollution urbaine chronique est liée à des rhinites, des sinusites et une fatigue persistante. Dans chacun de ces cas, la cause environnementale est objectivable, mesurable, réplicable. Et pourtant, la narration dominante reste : »c’est un méchant virus« .
Et si les rhinites, les bronchiolites, les angines, les »grippes« , les covid, n’étaient pas des infections virales transmises de personne à personne, mais des inflammations de muqueuses provoquées par l’air vicié que nous partageons ? Ce paradigme offre une autre vision : ce ne sont pas les contacts interhumains qui nous rendent malades, mais notre contact commun avec un environnement dégradé. Ce n’est pas un méchant virus qui se transmet, mais des atteintes immunitaires provoquées par les nanoparticules, les pollens altérés, les gaz irritants, les matières particulaires PM2,5, PM1, PM0,1, avec effondrement alvéolaire à la clé.
Les nanoparticules de pollution, bien qu’elles aient été reconnues pour leur potentiel toxique, n’ont pas été immédiatement vues à travers le prisme de la cytopathie virale, malgré leurs effets similaires. Elles ont cependant un impact sur les cellules humaines, en induisant des phénomènes comme l’inflammation, le stress oxydatif, et l’activation du système immunitaire, qui sont souvent des réponses à des infections virales. Ainsi, bien que ces nanoparticules ne soient pas des »agents vivants« , leur capacité à induire des effets cytopathiques et à perturber les fonctions cellulaires remet en question l’idée selon laquelle la pathogénicité nécessiterait un agent biologique »réplicatif« .
Nous disposons de toutes les preuves empiriques que la pollution atmosphérique est une cause directe, majeure, des affections cardio-respiratoires. Continuer à détourner le regard pour désigner un »méchant virus" hypothétique et invisible revient à abandonner toute possibilité de prévention réelle. Ce n’est pas la contagion que nous devons craindre. C’est la dénaturation de notre environnement
L’un des paradigmes traditionnels de la biologie infectieuse repose sur la notion selon laquelle la pathogénicité est étroitement liée à la présence d’un agent vivant capable de se répliquer à l’intérieur de la cellule hôte, qu’il s’agisse d’un méchant virus ou d’une bactérie. Dans ce cadre, les méchants virus, par exemple, sont supposés utiliser les mécanismes cellulaires pour se reproduire, ce qui, en fin de compte, détruit souvent la cellule hôte et provoque des effets cytopathiques.
Cependant, cette vision de la pathogénicité devient de plus en plus réductrice lorsqu’on considère des agressions non vivantes telles que les nanoparticules. Ces dernières, bien qu’elles ne soient pas biologiquement vivantes, peuvent néanmoins avoir un impact dévastateur sur les cellules humaines, perturbant leur fonction, induisant des lésions et déclenchant des réponses immunitaires. Cela suggère qu’il existe un mécanisme de pathogénicité qui peut être induit par des agents non vivants, inertes mais toxiques, ce qui remet en question l’idée même qu’un agent pathogène doit nécessairement être capable de se répliquer pour causer des maladies.
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Patrice Bravo 16 mai 21:52
@Goldo Du
T’as mis tes couches, j’espère ! tralala lala, que t’en tiens des couches ! tralala lala
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Legestr glaz 16 mai 22:22
@PaulAndréG (PàG)
Non pas des « virus », mais des « méchants virus », des « virus-artefacts », des « épicycles biologiques », c’est bien autre chose. Vous devriez le mesurer !
Les « épicycles de Ptolémée » capturent parfaitement le problème de la chaîne d’inférences en virologie : chaque nouveau coronavirus, du SARS-CoV-2 aux coronavirus saisonniers, est identifié en s’appuyant sur des références antérieures, elles-mêmes basées sur des observations initiales (années 1940-1950) potentiellement imprécises. Cette accumulation d’hypothèses, sans contrôle rigoureux des sources alternatives ni validation indépendante, évoque les épicycles ptolémaïques, qui complexifiaient le modèle géocentrique sans résoudre ses contradictions. Les coronavirus connus utilisés pour le SARS-CoV-2 (SARS-CoV-1, MERS-CoV, RaTG13, coronavirus saisonniers) reposent sur une chaîne remontant à des méthodes rudimentaires, ce qui introduit une incertitude fondamentale et questionnable.
Les nanoparticules de la pollution atmosphérique sont des« agents pathogènes » au sens premier du terme. Et la dynamique de la maladie que provoquent les nanoparticules est bien identifiée. Les nanoparticules descendent dans l’environnement alvéolaire. Les macrophages et les neutrophiles appelés en renfort produisent des espèces réactives à l’oxygène. Par manque d’anti-oxydant, ou par faiblesse préalable de l’épaisseur du glycocalyx, celui ci ne remplit plus ses fonctions, la SOD3 s’échappe (un très puissant antioxydant). Les alvéoles s’effondrent. Les embolies pulmonaires, les thromboses, les oedèmes, l’hypoxie, la détresse respiratoire aiguë, la sur-infection bactérienne réactive et les tempêtes de cytokines systémiques se développent (la tempête de cytokines est une réponse physiologique à une infection ou à une maladie, au cours de laquelle le système immunitaire naturel libère de grandes quantités de cytokines dans le sang. Tout cela se produit rapidement et constitue un problème de santé catastrophique. Cette réponse immunitaire est également connue sous le nom d’hypercytokinémie, syndrome de tempête de cytokines).
Certains, et même beaucoup, en meurent. Et le constat veut que les personnes les plus atteintes sont celles qui présentent, au préalable, un glycocalyx dégradé. Et le constat veut que ces épisodes de maladies infectieuses s’inscrivent dans le cadre des inversions thermiques et d’une qualité de l’air dégradée. Dans ce mécanisme, les agents pathogènes sont inertes mais violents !
Il se produit exactement la même chose lors des « asthmes d’orage ». Ce sont des nanoparticules qui descendent dans les alvéoles pulmonaires, provoquent des rhinites, de l’asthme et peuvent entrainer la mort.
Mais n’ébruitez pas tout ceci. Nous sommes entre nous. Vous imaginez si les gens avaient connaissance de ça ? La « vaccination serait une cautère sur une jambe de bois ». Il ne faudrait pas tuer la poule aux oeufs d’or.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17256154/
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Julian Dalrimple-sikes 17 mai 07:28
@Legestr glaz
Salut, merci, ah le vieux monde tarde à crever on dirait..
Quand même remarquable ce mensonge global sur quasiment tout, pseudo sciences, pseudo histoire, pseudo médecine, pseudo éducation enfin ad libitum.
Quand même remarquable le nombre d’entre nous sur des millénaires qui ont gobé tout ça...
je remets la carte dont tu m’avais donnée le lien
https://www.ventusky.com/?p=47.1 ;-10.5 ;4&l=pm25 -
Legestr glaz 17 mai 09:00
@Julian Dalrimple-sikes
Bonjour Julian. Pour ceux qui seraient intéressés par une vision « réaliste » des maladies cardio-respiratoires, je propose cette lecture :
Pollution atmosphérique et maladies respiratoires : une réalité observable qui est niée !
La réalité des maladies respiratoires aiguës, observée notamment lors d’épisodes de pollution atmosphérique, révèle une dynamique cohérente avec une explication environnementale et redox, bien plus robuste que la théorie de la transmission virale par contamination.
Les nanoparticules sont des agents pathogènes inertes. Les nanoparticules issues de la pollution atmosphérique (PM0.1, PM2.5, NOx, ozone, etc.) pénètrent jusqu’aux alvéoles pulmonaires. Elles y sont identifiées non pas comme des pathogènes vivants, mais comme des corps étrangers inertes, activant puissamment le système immunitaire par l’intermédiaire des DAMPs (Damage-Associated Molecular Patterns). Cette activation déclenche une production massive d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) par les macrophages et les neutrophiles, conduisant à un stress oxydatif aigu dans un contexte de vulnérabilité endothéliale.
Chez les individus souffrant de comorbidités (diabète, obésité, maladies cardiovasculaires), le glycocalyx endothélial est souvent altéré. Cette dégradation affaiblit les barrières protectrices des capillaires alvéolaires, expose les récepteurs à l’adhésion cellulaire, facilite la formation de microthrombi et favorise une inflammation incontrôlée. Ces mécanismes sont directement impliqués dans l’hypoxie, les œdèmes pulmonaires, les syndromes de détresse respiratoire aiguë, les AVC, la coagulopathie diffuse, la tempête cytokinique et les décès par arrêt cardiaque.
La preuve nous est donnée par la surveillance satellitaire. L’observation de la pollution atmosphérique par satellites permet aujourd’hui de prédire avec précision : la présence et l’intensité des inversions thermiques (y compris la hauteur du plafond inversif) ; l’étendue géographique des masses d’air stagnantes et polluées ; la durée prévisible des épisodes de pollution.
Or, les pics de maladies cardio-respiratoires graves et de mortalité surviennent systématiquement avec un léger décalage après ces épisodes, et disparaissent avec eux. Ces « clusters » géographiques (Est et Nord de la France, Plaine du Pô en Italie, etc.) ne suivent pas une dynamique de « propagation » virale, mais coïncident avec les zones où la qualité de l’air s’effondre. En revanche, les zones épargnées par la pollution chronique (comme la Bretagne ou le Massif central) restent relativement indemnes.
Nous savons également prévoir les épisodes d’« asthme d’orage » par des analyses météorologiques et de charge pollinique. La similitude des mécanismes d’agression alvéolaire par des particules inertes confirme le rôle pathogène direct de l’environnement atmosphérique.
La théorie virale, même lorsqu’elle tente d’intégrer les « comorbidités », échoue à expliquer pourquoi les épidémies suivent une dynamique environnementale plutôt qu’une logique contagieuse. La transmission virale présuppose des chaînes d’infection entre individus, mais ne peut expliquer ni l’émergence synchronisée des cas dans des zones sans contact apparent, ni l’arrêt brusque des cas avec la dissipation de l’inversion thermique, ni l’absence de propagation significative dans les zones à air pur.
En continuant de parler de « contamination interhumaine », on détourne l’attention des causes environnementales réelles, parfaitement identifiables, mesurables, prévisibles, et modifiables. La ressemblance entre la persistance de la théorie géocentrique (et de ses épicycles) et l’insistance sur une contagion virale invisible, malgré les données tangibles de la pollution, est frappante.Les interventions thérapeutiques qui ont montré leur efficacité dans les cas graves de COVID-19 ou de syndrome de détresse respiratoire aiguë -SDRA- (vitamine C, zinc, bleu de méthylène, ivermectine, hydroxychloroquine, antibiotiques ciblant les surinfections) ont en commun leur capacité à rétablir l’équilibre redox cellulaire, protéger ou restaurer la fonction mitochondriale, réduire la cascade inflammatoire liée à la réponse immunitaire non spécifique.
En revanche, l’usage d’antiviraux ou de traitements ciblant un pathogène spécifique, sans prise en charge du stress oxydatif ni du contexte environnemental, s’apparente à un cautère sur une jambe de bois.
La maladie ne frappe pas au hasard. Ce sont les individus au terrain affaibli – notamment par une altération du glycocalyx vasculaire – qui succombent. La pollution atmosphérique est un agent pathogène non vivant, mais déclencheur de réponses immunitaires graves.
Loin d’être une simple coïncidence, la corrélation entre pollution et maladies cardio-respiratoires est causale. Il est temps d’orienter nos politiques de santé publique non pas vers la peur des virus invisibles, mais vers la réduction mesurable des polluants atmosphériques. La réalité observable, aujourd’hui amplifiée par les outils de surveillance satellitaire, nous impose de changer de paradigme. Comprendre et traiter les déséquilibres redox, protéger le glycocalyx, anticiper les pics de pollution : voilà la voie vers une véritable prévention des maladies respiratoires graves.
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6117512/ -
Francis, agnotologue 17 mai 09:57
@Julian Dalrimple-sikes
’’Quand même remarquable ce mensonge global sur quasiment tout, pseudo sciences, pseudo histoire, pseudo médecine, pseudo éducation enfin ad libitum.’’
— >
Je persiste et signe : le gros mensonge de base médiatisé qui a hypnotisé les peuples de la Terre, c’est « le petit pas pour l’homme le grand pas pour l’humanité »
On n’en revient toujours pas.
S’en sont suivis l’assassinat de JFK et le 11/9.
Et plus près de nous : la pandémie covidiote, cette « première épidémie mortelle dont il a fallu convaincre les gens qu’elle existait », à grands renfort de tests menteurs et com médiatique anxiogène et obsédante. -
Goldo Du 17 mai 10:56
@Patrice Bravo
« T’as mis tes couches, j’espère ! tralala lala, que t’en tiens des couches ! tralala lala »
Mais t’as pris des cours de comique Putin Comedy Club ?
Y a pas ! Le calembour est un pet de l’esprit. -
Goldo Du 17 mai 10:58
@Legestr glaz
C’est bien d’avoir un vrai toubib parmi nous. C’est quoi ta spécialité ?
N’empêche que je suis déçu. Je ne suis toujours reseter, j’ai toujours pas la 4G avec la puce qu’on m’a injecté... -
Legestr glaz 17 mai 11:19
@Goldo Du
Ne confondez pas médecin et biologie ! Les médecins, sauf filière particulière en spécialité, ne font pas de biologie.
Je vois que vous confondez médecine et biologie. Difficile de comprendre les choses dans ces conditions.
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pemile 17 mai 12:23
@Legestr glaz « Bonjour pemile, puisque vous êtes là et que vous évoquez les « virus », les « méchants virus », les « très méchants virus » ! »
Mémoire de poisson rouge ou obsession qui t’aveugle, tu n’as toujours pas eu temps de te pencher sur le fait que la science prouve que « le corps d’un homme adulte sain abrite plus de trois mille milliards de virus » et que « 300 millions de bases de notre génome sont d’origine virale » ?
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pemile 17 mai 12:49
@Legestr glaz « Pollution atmosphérique et maladies respiratoires : une réalité observable qui est niée ! »
Tu as 50€ pour installer un capteur près de chez toi ? -
Legestr glaz 17 mai 15:20
@pemile
Pourquoi mettre un lien alors qu’il est si facile de faire un copié collé des 2 lignes en question ? Alors les voici :pemile 25 avril 09:20@Legestr glaz
Et après avoir proposé une explication pour le sang contaminé, tu voudras bien te pencher sur le fait que la science prouve que « le corps d’un homme adulte sain abrite plus de trois mille milliards de virus » et que « 300 millions de bases de notre génome sont d’origine virale » ?
La pollution atmosphérique, elle, ne mute pas, ne prend pas l’avion, mais revient fidèlement à chaque épisode météorologique propice - et ses effets sur la santé sont constants et bien documentés, que ce soit lors d’inversions thermiques ou d’orages.
Il est donc urgent de rééquilibrer le discours scientifique et médiatique, et de replacer la pollution au centre de l’analyse des épidémies respiratoires saisonnières.
Changer de paradigme demande du courage intellectuel, de l’indépendance d’esprit et une volonté collective de remettre en cause les intérêts établis.
Comme pour le passage du géocentrisme à l’héliocentrisme, cela prendra du temps, mais l’histoire des sciences montre que les faits finissent toujours par s’imposer.
PS : n’est « d’origine virale » que les génomes « construits en laboratoire » à l’aide de la bio informatique. Ce que vous appelez « bases de notre génome » est une construction intellectuelle pas une réalité biologique. La PCR trouve ce qu’on lui demande de trouver, c’est à dire ce qui vient d’être construit. La virologie est une pétition de principe. Si vous comprenez, c’est bien pemile, si vous ne comprenez pas, c’est bien aussi. -
Legestr glaz 17 mai 15:30
@pemile
Le problème, pemile, n’est pas tant le degré de pollution mais le fait que vous l’avez sous le nez. Et ceci se produit en deux circonstances :
— Lors des inversions thermiques
— Lors des oragesIl n’y a jamais, et il n’y jamais eu d’épidémie de maladie cardio-respiratoires en l’absence d’inversion thermique ou d’orage.
Tant que la pollution peut s’évacuer vers la haute atmosphère le problème de la pollution est relativement maitrisé. Il faut réfléchir avant d’élire pemile ! Votre histoire de capteur c’est débile ! Le plafond d’une inversion thermique à 500-700 mètre c’est hyper-dangereux pour la santé humaine ! Si la pollution n’est pas maintenue vers le sol, le danger est bien moindre !
https://www.atmo-auvergnerhonealpes.fr/actualite/parlons-pollens-5-lasthme-dorage
Quoi qu’exceptionnel, l’asthme d’orage est bien documenté et son mécanisme connu : du fait d’orages violents et particulièrement chargés en électricité, les grains de pollens gorgés d’eau éclatent en de multiples particules de très petite taille (« submicroniques ») et particulièrement allergisantes. Ces pollens ainsi fragmentés franchissent alors sans encombre le filtre que constitue le nez et pénètrent encore plus profondément dans l’arbre bronchique. On l’aura compris : pour que le risque de violentes crises d’asthme soit majoré, plusieurs conditions doivent donc être réunies : une saison pollinique qui bat son plein, ce qui est le cas ces derniers jours avec un niveau record de pollens de graminées combiné à la floraison des pollens d’herbacés (données issues du Réseau national de surveillance aérobiologique), et un phénomène orageux très violent, ce qui est le cas au printemps et en début d’été.
De manière systématique, lors de ces phénomènes orageux estivaux, une augmentation du nombre de passages aux urgences est constatée, pour des crises d’asthme chez les personnes allergiques aux pollens et asthmatiques, pour bronchospasmes (contraction brusque et intense des muscles des bronches entraînant une asphyxie par réduction de leur calibre) et augmentation de la sévérité des symptômes de la maladie respiratoire. De plus, la pollution aggrave le tableau. En effet, la pollution environnementale, atmosphérique mais aussi celle à l’intérieur des logements, accroît ce risque de crises d’asthme d’orage ; la double toxicité – chimique due aux particules fines notamment, et mécanique due à la fragmentation des particules de pollens – favorisant la pénétration de ces minuscules allergènes très loin dans le système respiratoire.
https://sante-respiratoire.com/asthme-dorage-orages-et-pollens-un-cocktail-explosif/
La « réalité observable » pemile ! -
Patrice Bravo 17 mai 16:21
@Goldo Du
Et toi, tu joues avec tes roubignoles sur le panio comme ton ignoble modèle Zelensky qui a poussé tout un peuple à l’abattoir ? A propos, t’as toujours pas mis l’ignoble uniforme ukro pour aller au front ?
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pemile 17 mai 16:29
@Legestr glaz " Les virus sont des artefacts biologiques et il appartient à la virologie d’apporter la preuve du contraire en mettant en place des contrôle négatifs qui n’existent pas dans cette discipline. La virologie fonctionne sur des « hypothèses » et non sur des preuves."
A tourner en rond en ânonnant les mêmes conneries délirantes tu n’as jamais de vertige ? -
pemile 17 mai 16:32
@Legestr glaz « Le problème, pemile, n’est pas tant le degré de pollution mais le fait que vous l’avez sous le nez. »
Raison de plus pour installer un capteur près de chez toi ! (Un club à Damgan à monté 9 kits pour 35€ pièces, 2 visibles sur la carte).
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Legestr glaz 17 mai 20:34
@pemile
Je n’ai pas besoin de votre capteur, gardez le. En revanche, puisque vous ne comprenez pas comment on « fabrique » les génomes des différents « virus », je vais vous donner la « recette » !
Dans les années 1940-1950, les premiers coronavirus (animaux, comme le coronavirus murin MHV) sont identifiés à l’aide de méthodes rudimentaires (microscopie électronique, cultures cellulaires), basées sur leur morphologie (particules en couronne) et leur association, par hypothèse, avec des maladies. Ces identifications, bien que fondatrices, reposent sur des observations limitées, sans séquençage précis ni contrôle des sources non virales (comme les exosomes, inconnus à l’époque). La technologie était rudimentaire à l’époque.
Chaque nouveau coronavirus (HCoV-229E et OC43 dans les années 1960, SARS-CoV-1 en 2003, MERS-CoV en 2012, SARS-CoV-2 en 2020) est identifié en s’appuyant sur les génomes des coronavirus précédents. Les amorces PCR, les alignements bioinformatiques, et les interprétations des effets cytopathiques (CPE) sont ajustés pour correspondre à l’hypothèse virale, un peu comme des épicycles de Ptolémée ajoutés pour faire coller les données au modèle.
À mesure que les technologies avancent, les génomes viraux sont validés rétrospectivement, mais toujours dans le cadre de l’hypothèse initiale d’un coronavirus. Les sources alternatives d’ARN (exosomes par exemple) ou les biais méthodologiques (stress des cultures cellulaires) ne sont pas contrôlés par des contrôles négatifs, ce qui équivaut à ajouter des « épicycles » pour maintenir le paradigme viral.
Tout comme les épicycles rendaient le modèle géocentrique de plus en plus complexe et artificiel, la dépendance cumulative aux coronavirus antérieurs, sans validation indépendante des hypothèses fondatrices, rend la virologie vulnérable à des erreurs systémiques. Sans un « Copernic virologique », qui proposerait un paradigme alternatif, ou des méthodes plus rigoureuses, la discipline virologique pourrait continuer à accumuler ce genre d’ajustement circulaire et spécieux à l’infini !
pemile, veuillez apprécier ce magnifique raisonnement circulaire :
... Chaque nouveau coronavirus a été identifié en s’appuyant sur les précédents, ajoutant des « épicycles » aux « épicycles » :-
Coronavirus saisonniers (HCoV-229E, OC43, années 1960) : Identifiés en utilisant les coronavirus animaux comme références morphologiques, avec des cultures cellulaires et des tests sérologiques. Leur classification comme coronavirus reposait sur l’hypothèse que les particules observées étaient similaires à celles des coronavirus animaux.
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SARS-CoV-1 (2003) : Séquencé en s’alignant sur les coronavirus saisonniers et animaux, avec des amorces dégénérées basées sur ces références.
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MERS-CoV (2012) : Identifié en utilisant SARS-CoV-1 et les coronavirus de chauve-souris comme références.
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SARS-CoV-2 (2020) : Séquencé en s’appuyant sur SARS-CoV-1, MERS-CoV, et RaTG13, avec des amorces PCR ciblant des régions conservées de ces virus.
À chaque étape, l’hypothèse d’un coronavirus guide le processus (alignement bioinformatique, choix des amorces, interprétation des CPE), ce qui équivaut à ajouter des épicycles pour ajuster les données au paradigme viral.
les exosomes libérés par des cellules stressées (en culture ou dans des échantillons cliniques) peuvent contenir des ARN qui imitent des séquences virales. À aucune étape de la chaîne, les études fondatrices n’ont isolé les exosomes pour analyser leur contenu ARN, ou contrôlé le stress contextuel des cultures cellulaires pour quantifier la production d’exosomes.
Cette omission équivaut à ignorer une explication alternative aux observations, un peu comme les astronomes géocentriques ignoraient l’hypothèse héliocentrique.
Les technologies modernes ont permis de valider rétrospectivement les génomes des coronavirus, mais toujours dans le cadre de l’hypothèse qu’il s’agit de virus. Ainsi les génomes complets des coronavirus saisonniers, séquencés dans les années 1990-2000, confirment leur appartenance au groupe des coronavirus, mais reposent sur les classifications morphologiques des années 1960. Et le SARS-CoV-2, séquencé en 2020, forme un génome cohérent ( 30 000 nucléotides) avec une homologie élevée à RaTG13 et SARS-CoV-1, mais cette cohérence dépend de l’alignement initial sur ces références préalables.
Plusieurs facteurs expliquent pourquoi la virologie a suivi ce chemin, rappelant les épicycles ptolémaïques. En effet, dans les années 1940-1960, les outils (microscopie électronique, cultures cellulaires) étaient limités, et les coronavirus ont été classés sur la base d’observations morphologiques et pathologiques. Ces classifications initiales, bien que pragmatiques, ont posé les bases de la chaîne d’inférences.
Lors d’épidémies comme le SRAS (2003) ou le COVID-19 (2020), l’urgence de trouver un agent causal a poussé les chercheurs à privilégier des méthodes rapides (alignement sur des virus connus, amorces spécifiques) plutôt que des approches indépendantes (séquençage de novo, analyse des exosomes).
La virologie, en s’appuyant sur une chaîne d’inférences remontant à des observations imparfaites et biaisées des années 1940-1950, a perpétué des biais systémiques, en négligeant les sources alternatives d’ARN (comme les exosomes) et les effets du stress inhérent à la culture. Cette accumulation d’« épicycles », d’amorces PCR basées sur des virus précédemment identifiés, d’alignements bioinformatiques orientés, d’interprétations biaisées des effets cytopathiques, maintient le paradigme viral, mais au prix d’une complexité croissante et d’une vulnérabilité aux erreurs initiales.
La virologie apparait par conséquent comme une discipline non rigoureuse, utilisant à outrance la pétition de principe dans un raisonnement circulaire répété.
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pemile 17 mai 20:44
@Legestr glaz « Je n’ai pas besoin de votre capteur, gardez le. »
Essaye d’être cohérent, si pour toi les pics de pollutions de particules sont seuls responsables pourquoi refuser de participer à ce réseaux de capteurs citoyens ? -
pemile 17 mai 20:46
@Legestr glaz « puisque vous ne comprenez pas comment on « fabrique » les génomes des différents « virus » »
Connerie, le seul ici qui ne comprend rien aux techniques de séquençages c’est toi ! -
Legestr glaz 17 mai 20:52
@pemile
Le délire était un délire « covidiste », c’est là qu’il faut chercher le « délire ». Des confinements, des vaccins, pour un virus artefact. Délire débile !
Le modèle « aérotoxique » a l’avantage d’expliquer de manière beaucoup plus cohérente la variabilité des maladies respiratoires observées dans le monde, sans se recroqueviller sur l’idée d’un agent pathogène invisible et omniprésent. En effet, les particules fines et les nanoparticules de pollution de l’air, qui pénètrent profondément dans les voies respiratoires, perturbent les mécanismes biologiques essentiels en provoquant un stress oxydatif, des inflammations chroniques et des perturbations des réponses immunitaires. Ces facteurs engendrent des pathologies respiratoires et cardiaques, indépendamment de la présence d’un virus particulier.
La pollution atmosphérique, comme les PM2,5, a été largement documentée pour ses effets délétères sur la santé humaine, exacerbant les conditions sous-jacentes comme l’hypertension, l’insuffisance cardiaque ou l’athérosclérose. L’exposition à ces nanoparticules provoque une série de réactions inflammatoires et des lésions cellulaires qui ressemblent de manière frappante aux symptômes observés dans les maladies respiratoires et cardiovasculaires. Cela renforce l’idée que les maladies respiratoires peuvent être mieux comprises comme des maladies « aérotoxiques » plutôt que virales.
L’idée que des virus comme le SARS-CoV-2 se propagent de manière quasi automatique et universelle à travers des chaînes de transmission de gouttelettes respiratoires ne tient pas face à l’observation des faits. L’absence de transmission dans certaines régions, même en cas d’exposition similaire, ainsi que la simultanéité de certaines vagues de maladies respiratoires dans des endroits géographiquement éloignés, soulignent qu’une approche plus globale, qui inclut les facteurs environnementaux (pollution, conditions météorologiques, inversions thermiques, etc.), est nécessaire pour expliquer cette réalité.
Il devient de plus en plus évident que le modèle « aérotoxique » et le rôle du stress oxydatif dans la physiopathologie des maladies cardiorespiratoires sont beaucoup plus cohérents avec la réalité observable que la théorie virale traditionnelle. Les infections respiratoires et les pathologies cardiaques liées à la pollution s’expliquent sans recourir à l’existence d’un « méchant virus invisible » comme facteur causal.
L’examen des faits, tel que l’expérience de Milton Rosenau, les variations géographiques des taux de maladie et les observations sur l’impact de la pollution atmosphérique, soutient l’idée que ce sont avant tout des déséquilibres physiologiques liés à l’environnement qui sont responsables de l’aggravation des maladies respiratoires et cardiaques. La pollution, en perturbant l’équilibre redox, reste le facteur déclencheur majeur, et non un virus externe.
Cela souligne bien que la réflexion sur les maladies respiratoires doit évoluer pour prendre en compte des facteurs environnementaux plus larges, et non se focaliser uniquement sur une hypothèse virale devenu de plus en plus fragile face aux observations de terrain , et aux nouvelles technologies comme l’observation satellitaires qui « prévoit » l’arrivée des masses d’air pollué, et les inversions thermiques, leur durée leurs zones d’expansion.
Les maladies cardio-respiratoires en automne-hiver sont maintenant parfaitement « prévisibles » sans attendre de savoir si le méchant virus a bien pris son billet d’avion depuis la Chine vers l’Europe.
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pemile 17 mai 20:57
@Legestr glaz « Délire débile ! »
En plus d’être débile, ton délire de négationnisme scientifique dans un domaine de santé publique est malsain !
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Legestr glaz 17 mai 21:13
@pemile
Parce que je suis en parfaite santé. Je vis ma vie figurez vous.Mais surtout enfoncez vous dans le déni. Oui, la pollution atmosphérique, lors des inversions thermiques, est une tueuse dangereuse, particulièrement chez les personnes dont le glycocalyx est amoindri ! Et vous les connaissez ces personnes : les diabétiques, les obèses, les personnes en surpoids, les insuffisants rénaux, les hypertendus.
Et comment va votre glycocalyx pemile ?
... La faiblesse ou la dégradation du glycocalyx endothélial, en particulier dans les capillaires pulmonaires, est un facteur clé qui favorise la thrombose in situ, les micro-embolies pulmonaires et peut même contribuer à l’installation d’une embolie pulmonaire classique.
... Le glycocalyx joue plusieurs rôles cruciaux dans la prévention de la thrombose. Il masque les molécules d’adhésion de l’endothélium empêchant la fixation des leucocytes et des plaquettes. Il lie et stabilise l’anti-thrombine III, l’héparane sulfate mimant l’action de l’héparine. Il inhibe l’activation plaquettaire par des signaux anti-adhésifs et anti-inflammatoires. Un glycocalyx intact maintient l’endothélium dans un état anti-inflammatoire, antioxydant et antithrombotique.
... En cas de désorganisation du glycocalyx, on constate une exposition du sous-endothélium aux facteurs pro-coagulants et une hypercoagulabilité vasculaire silencieuse (microthrombi, coagulopathie). Et les preuves clinique de la perte du glycocalyx sont prouvées par l’élévation de syndécane-1 chez les diabétiques.
... Des études expérimentales ont montré que le glycocalyx est un compartiment intravasculaire crucial qui assure la transduction de la libération de NO induite par la contrainte de cisaillement, module la perméabilité vasculaire et abrite un large éventail de protéines anticoagulantes. À une échelle de temps comparable à la perte de volume du glycocalyx, nous avons observé une perte de libération de NO induite par la contrainte de cisaillement, une augmentation de la perméabilité vasculaire et une activation de la coagulation lors du clampage hyperglycémique chez des volontaires sains.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16443784/
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Legestr glaz 17 mai 21:57
@pemile
Toute théorie doit pouvoir être interrogée et la « théorie virale » n’échappe pas à cette règle.
Les « négationnistes » sont ceux qui refusent la discussion. Comme vous pemile. Vous êtes dans le dogme, vous adoptez une posture autoritaire : les « théories ne se discutent pas » ! Je pense que vous auriez mis au bûcher Galilée.
Trouvez des arguments, dignes de ce nom. Et contrôlez vous : les maladies cardio-respiratoires se soignent si l’on reconnait les causes mais surtout pas à coup de vaccins ! Des cautères sur une jambe de bois.
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pemile 17 mai 22:17
@Legestr glaz « Parce que je suis en parfaite santé. »
Mais vu ton obsession à répéter sans fin les mêmes conneries délirantes, ta santé mentale pose question !
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Legestr glaz 17 mai 22:54
@pemile
Ce n’est pas avec ce genre de réponse que vous pouvez être crédible. attaquer le messager et non le message : du grand guignol !
Par exemple, vous pourriez répondre sur l’utilisation de la pétition de principe en virologie ? Vous sauriez faire ça ?
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Legestr glaz 17 mai 23:06
@pemile
Quelques lignes pour finir la soirée en beauté.
Contrairement à ce que suggère la « théorie virologique classique », les « clusters » de maladies respiratoires ne se développent pas au hasard. Ils coïncident toujours avec :
— des périodes d’inversion thermique, connues pour augmenter la concentration de particules fines (PM2.5, PM1, PM0.1),
— des phénomènes d’orage d’asthme et de rhinite aiguë, liés à la fragmentation des pollens et leur combinaison avec les polluants,
— une dégradation brutale de la qualité de l’air, corrélée à une augmentation des admissions hospitalières pour troubles respiratoires.
Ces phénomènes sont prévisibles, mesurables par satellite, et cartographiables en temps réel. Pourtant, leur lien avec la survenue de syndromes graves est négligé et souvent ignoré, les « méchants virus » prenant toute la place.
Face aux données disponibles, il devient évident que :
— La pollution atmosphérique est un facteur causal majeur dans les pathologies pulmonaires graves.
— La vulnérabilité endothéliale préexiste à l’infection.
— Le glycocalyx est la clé de voûte physiopathologique qui relie terrain, environnement et inflammation aiguë.
La politique de santé publique doit abandonner l’hypothèse virale et intégrer les facteurs réels, mesurables et modifiables que sont :
— la qualité de l’air,
— le contrôle métabolique des populations,
— la réduction de l’exposition chronique aux PM ultrafines,
— la restauration du redox et du glycocalyx vasculaire.
La santé publique ne progressera pas en dissimulant les mécanismes biologiques fondamentaux. C’est en les affrontant que l’on pourra réduire significativement la mortalité respiratoire liée aux facteurs environnementaux. Le moment est venu de sortir du déni scientifique.
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Legestr glaz 17 mai 23:13
@pemile
Les périodes d’inversion thermique, désormais bien identifiées par les outils de surveillance satellitaire, ainsi que les épisodes d’« orage d’asthme » ou de rhinite aiguë, démontrent de manière claire que les « clusters » de maladies respiratoires aiguës ne sont pas dus à une contamination aléatoire par gouttelettes ou à une prétendue propagation virale interhumaine. En réalité, ces clusters se positionnent dans des zones géographiques précises où la qualité de l’air se dégrade brutalement et où les niveaux de nanoparticules (comme les PM2.5, PM1 et PM0.1) atteignent des seuils critiques.
Cette dynamique observable, notamment durant la crise du COVID-19, a révélé que les régions les plus touchées étaient aussi les plus polluées (comme le Nord et l’Est de la France), tandis que les zones moins industrialisées ou bénéficiant d’un air plus pur (comme la Bretagne ou la façade atlantique) ont été nettement moins affectées. Ce lien géographique fort entre pollution et maladie respiratoire devrait susciter une remise en question radicale du paradigme viral dominant.
L’histoire scientifique nous rappelle que ce n’est pas parce qu’un modèle est répété à l’infini (comme les épicycles pour justifier le géocentrisme) qu’il reflète la réalité. Aujourd’hui, les virus sont utilisés comme explication centrale des pathologies, même lorsque les données environnementales offrent un modèle bien plus cohérent, reproductible et observable.
Les pathologies cardiorespiratoires ne frappent pas au hasard. Elles touchent des individus ayant déjà un terrain propice, notamment une altération du glycocalyx endothélial, qui rend les capillaires pulmonaires vulnérables à l’adhésion cellulaire, à la coagulation locale et aux tempêtes inflammatoires. Cette dégradation est exacerbée par les agressions environnementales et l’absence de soutien redox adéquat (vitamine C, zinc, SOD, etc.).
Ce n’est pas en persistant dans une vision virocentrique que la lutte contre ces maladies progressera, mais en tenant compte de la réalité biologique et environnementale observable
Les nanoparticules de la pollution atmosphérique doivent être considérées comme de véritables agents pathogènes. Bien qu’« inertes » du point de vue microbiologique, ces particules ultrafines sont immédiatement identifiées comme des menaces par l’organisme via les DAMPs (Damage-Associated Molecular Patterns), déclenchant une réponse immunitaire innée intense.
Cette activation, loin d’être bénigne, provoque une cascade d’événements inflammatoires et thrombogènes, particulièrement délétères chez les individus dont le glycocalyx endothélial est affaibli par l’âge ou les comorbidités métaboliques (diabète, hypertension, obésité, syndrome métabolique, etc.).
Les pathologies consécutives sont aujourd’hui bien identifiées : microthromboses, thromboses massives, coagulopathies, événements cardiovasculaires aigus (AVC, arrêts cardiaques), œdèmes pulmonaires, hypoxie, ischémie, syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), tempêtes de cytokines systémiques et surinfections bactériennes secondaires. Toutes ces manifestations cliniques ne sont pas provoquées par un « virus » invisible, mais par l’agression directe de l’environnement alvéolaire par des nanoparticules inertes issues de la pollution atmosphérique. Cette réalité biologique, visible, mesurable et reproductible, est systématiquement ignorée au profit d’un modèle de contamination virale qui ne résiste pas à l’observation rigoureuse des données environnementales et sanitaires.
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Legestr glaz 17 mai 23:20
@Legestr glaz
Et je vais en rester là !
L’exemple du Covid-19 est particulièrement révélateur : les clusters ne se forment pas au hasard, mais dans des régions marquées par une forte densité de pollution (Nord et Est de la France, Plaine du Pô en Italie, Wuhan, etc.), tandis que les zones moins polluées comme la Bretagne ou la façade atlantique ont été largement épargnées. Cette corrélation forte entre pollution chronique et sévérité des syndromes respiratoires doit inciter à recentrer le regard médical et scientifique sur les causes environnementales réelles des maladies, au lieu de persister dans un paradigme virologique désincarné. La Terre tournait autour du Soleil, mais il a fallu renoncer aux épicycles pour le reconnaître : il est temps de reconnaître que la dynamique des maladies respiratoires n’obéit pas à une logique virale, mais environnementale.
De plus en plus d’éléments convergent vers une lecture environnementale des pathologies respiratoires graves, mettant en cause non pas une infection virale « aléatoire » mais des agressions spécifiques du milieu pulmonaire par des nanoparticules inertes issues de la pollution atmosphérique. Ces particules, bien que dites « inertes », agissent comme des agents pathogènes dès lors qu’elles sont reconnues par les récepteurs du danger (DAMPs) présents dans l’épithélium pulmonaire et endothélial. Une fois détectées, elles déclenchent une activation immunitaire massive, même en l’absence de pathogènes infectieux.
Ces particules ultrafines atteignent facilement les alvéoles pulmonaires, surtout en cas d’inversions thermiques qui piègent l’air pollué au niveau du sol.
Dans les organismes affaiblis – en particulier ceux présentant une dégradation du glycocalyx endothélial – la cascade inflammatoire est exacerbée : activation des neutrophiles et macrophages, production excessive d’espèces réactives de l’oxygène (ROS), relargage de cytokines pro-inflammatoires, adhésion cellulaire accrue sur les capillaires pulmonaires, libération de fragments de glycocalyx (comme le syndécane-1), microthromboses, coagulation intravasculaire disséminée, jusqu’à l’ischémie, l’hypoxie sévère et le SDRA (syndrome de détresse respiratoire aiguë).
Ce tableau correspond précisément aux pathologies observées lors des épisodes dits « épidémiques » respiratoires. Il faut souligner que la surveillance satellitaire actuelle permet non seulement de détecter la pollution atmosphérique, mais également de prévoir l’installation d’inversions thermiques, d’en estimer la durée, l’étendue géographique, la hauteur du plafond d’inversion et la stagnation des masses d’air pollué.
Ces données permettent d’anticiper les pics d’hospitalisation qui suivent systématiquement ces événements avec un léger décalage temporel. La fin des pics de surmortalité correspond souvent à la fin de l’inversion, renforçant le lien de cause à effet.
Cette réalité mesurable et reproductible sur le plan géographique et temporel remet en question la pertinence du modèle viral basé sur la contagion interhumaine.
Elle montre que la survenue de « clusters » dans les zones polluées (par exemple le Nord et l’Est de la France pendant la période Covid) s’explique davantage par des facteurs environnementaux que par une transmission virale. Les régions épargnées, comme la Bretagne ou la façade atlantique, présentaient une meilleure qualité de l’air.
Il est temps de prendre acte que les nanoparticules de pollution sont des agents pathogènes majeurs, dont l’action est déclenchée par leur reconnaissance comme DAMPs, et que les pathologies respiratoires observées – de l’hypoxie à la tempête cytokinique – sont des réponses biologiques prévisibles à une agression environnementale, particulièrement dans des organismes déjà fragilisés.
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pemile 17 mai 23:57
@Legestr glaz « Ce n’est pas avec ce genre de réponse que vous pouvez être crédible. »
Face à fou furieux comme toi toute recherche de crédibilité est perte de temps !
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Francis, agnotologue 18 mai 09:27
@Legestr glaz
J’ai posté un extrait d’un papier de Stefan Lanka là qui mériterait une traduction intégrale. -
Legestr glaz 19 mai 09:24
@pemile
Bonjour pemile. Je pense que vous n’avez pas eu votre dose. Alors voici un petit complément :
Les épidémies révélées : pollution, malnutrition et vérité scientifique
En 1952, un brouillard toxique a enveloppé Londres, tuant 12 000 personnes en quelques semaines. Ce drame, le smog londonien, n’avait rien de viral : une pollution massive, piégée par une inversion thermique, a asphyxié la ville. Pourtant, face aux épidémies modernes comme le COVID-19, la tuberculose, Ebola ou la polio, le monde s’obstine à traquer des virus et à brandir des vaccins comme remède miracle. Ce discours est un cautère sur une jambe de bois, un égarement qui ignore les vraies causes : la pollution atmosphérique, la malnutrition et l’injustice sociale.
Les particules fines, les inversions thermiques, l’ozone et les carences alimentaires expliquent les crises sanitaires, tandis que les virus ne sont que des leurres biologiques. En s’appuyant sur des preuves historiques et scientifiques, il est possible de constater comment une science honnête peut sauver des vies et protéger les plus vulnérables.
Le smog londonien révèle une réalité brutale. Une inversion thermique, où l’air chaud emprisonne l’air froid près du sol, a concentré les particules fines, ces poussières microscopiques appelées PM2,5, à des niveaux mortels. Les fumées de charbon ont transformé la ville en piège toxique, provoquant des détresses respiratoires, des thromboses et des arrêts cardiaques. Les pauvres, souvent malnutris après la guerre, ont payé le prix fort. Ce mécanisme se répète dans les épidémies modernes. À Wuhan, en 2020, des inversions thermiques ont porté les PM2,5 à 50 microgrammes par mètre cube, coïncidant avec 4 000 décès. À Milan, des conditions similaires ont causé 16 000 morts. En revanche, la Bretagne, avec peu de pollution, comme toute la façade atlantique, ont échappé aux vagues de mortalité. Ces contrastes montrent que la pollution, et non un virus, est le moteur des crises.
La clé de ces syndromes réside dans le déséquilibre redox, un conflit entre les radicaux libres, générés par les PM2,5 et l’ozone, et les défenses antioxydantes du corps, comme le zinc ou le glutathion. Les PM2,5, PM1 et PM0, des « nanoparticules inertes », pénètrent les poumons, déclenchant une inflammation massive qui engorge les alvéoles de liquide, obstrue les vaisseaux par des caillots et asphyxie les organes. Ce stress oxydatif cause une cascade de maux : œdèmes pulmonaires, microthromboses, détresses respiratoires, AVC, arrêts cardiaques, voire surinfections bactériennes. La malnutrition aggrave tout. Une carence en zinc affaiblit les défenses, un manque de fer cause une anémie, et une insuffisance en protéines prive le corps de glutathion. À Londres en 1952, comme à Wuhan ou Milan, les plus pauvres, malnutris, et les organisme affaiblis par des « comorbidités », ont été les premières victimes, leurs corps incapables de résister à la pollution.
Pourquoi alors parler de virus ? Le discours dominant détecte des « virus » via des tests PCR, qui en réalité amplifient des exosomes, des vésicules produites par les cellules sous stress oxydatif. Ces particules, loin d’être des agents pathogènes, sont des réponses biologiques, comme l’a montré Stefan Lanka. Les expériences virologiques, prétendant qu’un virus comme le SARS-CoV-2 cause des syndromes, reposent sur des constructions artificielles : génomes assemblés par ordinateur, protéines synthétiques, cellules modifiées. À Milan, les vaccins n’ont pas stoppé les décès liés aux PM2,5, tandis que la Bretagne, sans pollution majeure, n’en avait pas besoin. Ce paradigme, soutenu par des intérêts pharmaceutiques, ignore les causes réelles et marginalise les pauvres, comme avant le Clean Air Act de 1956, qui a purifié l’air de Londres.
Une approche intelligente peut briser ce cycle. Restaurer l’équilibre redox par des suppléments abordables — zinc, fer, vitamine C — protège contre le stress oxydatif, réduisant la mortalité dans des maladies comme la tuberculose, une affection de la pauvreté, non virale. Réduire les PM2,5 à 25 microgrammes par mètre cube, via des réglementations et une surveillance par satellite, prévient les drames. Améliorer l’accès à une alimentation riche et à un air pur renforce les populations vulnérables. Ces solutions, simples et universelles, contrastent avec les vaccins, qui ont coûté des milliards sans agir sur la pollution ou la malnutrition. Le smog londonien a montré la voie : en purifiant l’air, on sauve des vies.
Les preuves sont claires : la pollution et la malnutrition, amplifiées par les inversions thermiques, expliquent les épidémies, du smog londonien aux crises modernes. Une science rigoureuse doit tester ces causes, en exposant des modèles aux PM2,5 et à la malnutrition pour reproduire les syndromes, sans invoquer de virus.
Le discours virologique, un héritage d’erreurs, doit céder la place à une vérité centrée sur la justice sociale. En investissant dans un air pur, une nutrition saine et des conditions dignes, nous pouvons protéger les oubliés et les fragiles. Les épidémies ne sont pas virales, elles sont humaines. Embrassons une science honnête pour un monde où la santé est un droit, pas un privilège.
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Legestr glaz 19 mai 09:32
@Francis, agnotologue
Merci Francis. Je connais ce papier. Stefan Lanka fait parfaitement le point sur la fraude virale. Une méprise gigantesque.
Le même aveuglement que celui qui a présidé à la « théorie géocentrique ». Les « virus », les « variants », les « mutants », sont des « épicycles biologiques », pour « tenter d’expliquer » la théorie virale, comme les « épicycles de Ptolémée » tentaient d’expliquer la théorie géocentrique. Nous sommes très exactement dans le même cas de figure.
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pemile 19 mai 09:56
@Legestr glaz « pemile. Je pense que vous n’avez pas eu votre dose. »
C’est que mes défenses immunitaires contre tes conneries sont au top ?
Mais, rassure toi, j’adore tes logorrhées de conneries, si la pollution tue c’est bien une preuve que les virus n’existent pas !
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Goldo Du 21 mai 09:01
@Patrice Bravo
"Et toi, tu joues avec tes roubignoles sur le panio comme ton ignoble modèle Zelensky qui a poussé tout un peuple à l’abattoir ? A propos, t’as toujours pas mis l’ignoble uniforme ukro pour aller au front ?"
Zelensky n’est pas mon modèle.
Et toi ? Tu as mis l’uniforme russonazi ?
Ah oui ! C’est vrai. Mais tu n’es pas au front. Tu es bien planqué à St-Petersburg.
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