Commentaire de Legestr glaz
sur La Libye occidentale se dirige-t-elle vers une guerre civile ?
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@pemile
Les périodes d’inversion thermique, désormais bien identifiées par les outils de surveillance satellitaire, ainsi que les épisodes d’« orage d’asthme » ou de rhinite aiguë, démontrent de manière claire que les « clusters » de maladies respiratoires aiguës ne sont pas dus à une contamination aléatoire par gouttelettes ou à une prétendue propagation virale interhumaine. En réalité, ces clusters se positionnent dans des zones géographiques précises où la qualité de l’air se dégrade brutalement et où les niveaux de nanoparticules (comme les PM2.5, PM1 et PM0.1) atteignent des seuils critiques.
Cette dynamique observable, notamment durant la crise du COVID-19, a révélé que les régions les plus touchées étaient aussi les plus polluées (comme le Nord et l’Est de la France), tandis que les zones moins industrialisées ou bénéficiant d’un air plus pur (comme la Bretagne ou la façade atlantique) ont été nettement moins affectées. Ce lien géographique fort entre pollution et maladie respiratoire devrait susciter une remise en question radicale du paradigme viral dominant.
L’histoire scientifique nous rappelle que ce n’est pas parce qu’un modèle est répété à l’infini (comme les épicycles pour justifier le géocentrisme) qu’il reflète la réalité. Aujourd’hui, les virus sont utilisés comme explication centrale des pathologies, même lorsque les données environnementales offrent un modèle bien plus cohérent, reproductible et observable.
Les pathologies cardiorespiratoires ne frappent pas au hasard. Elles touchent des individus ayant déjà un terrain propice, notamment une altération du glycocalyx endothélial, qui rend les capillaires pulmonaires vulnérables à l’adhésion cellulaire, à la coagulation locale et aux tempêtes inflammatoires. Cette dégradation est exacerbée par les agressions environnementales et l’absence de soutien redox adéquat (vitamine C, zinc, SOD, etc.).
Ce n’est pas en persistant dans une vision virocentrique que la lutte contre ces maladies progressera, mais en tenant compte de la réalité biologique et environnementale observable
Les nanoparticules de la pollution atmosphérique doivent être considérées comme de véritables agents pathogènes. Bien qu’« inertes » du point de vue microbiologique, ces particules ultrafines sont immédiatement identifiées comme des menaces par l’organisme via les DAMPs (Damage-Associated Molecular Patterns), déclenchant une réponse immunitaire innée intense.
Cette activation, loin d’être bénigne, provoque une cascade d’événements inflammatoires et thrombogènes, particulièrement délétères chez les individus dont le glycocalyx endothélial est affaibli par l’âge ou les comorbidités métaboliques (diabète, hypertension, obésité, syndrome métabolique, etc.).
Les pathologies consécutives sont aujourd’hui bien identifiées : microthromboses, thromboses massives, coagulopathies, événements cardiovasculaires aigus (AVC, arrêts cardiaques), œdèmes pulmonaires, hypoxie, ischémie, syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), tempêtes de cytokines systémiques et surinfections bactériennes secondaires. Toutes ces manifestations cliniques ne sont pas provoquées par un « virus » invisible, mais par l’agression directe de l’environnement alvéolaire par des nanoparticules inertes issues de la pollution atmosphérique. Cette réalité biologique, visible, mesurable et reproductible, est systématiquement ignorée au profit d’un modèle de contamination virale qui ne résiste pas à l’observation rigoureuse des données environnementales et sanitaires.