Commentaire de Legestr glaz
sur La Libye occidentale se dirige-t-elle vers une guerre civile ?
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@pemile
Quelques lignes pour finir la soirée en beauté.
Contrairement à ce que suggère la « théorie virologique classique », les « clusters » de maladies respiratoires ne se développent pas au hasard. Ils coïncident toujours avec :
— des périodes d’inversion thermique, connues pour augmenter la concentration de particules fines (PM2.5, PM1, PM0.1),
— des phénomènes d’orage d’asthme et de rhinite aiguë, liés à la fragmentation des pollens et leur combinaison avec les polluants,
— une dégradation brutale de la qualité de l’air, corrélée à une augmentation des admissions hospitalières pour troubles respiratoires.
Ces phénomènes sont prévisibles, mesurables par satellite, et cartographiables en temps réel. Pourtant, leur lien avec la survenue de syndromes graves est négligé et souvent ignoré, les « méchants virus » prenant toute la place.
Face aux données disponibles, il devient évident que :
— La pollution atmosphérique est un facteur causal majeur dans les pathologies pulmonaires graves.
— La vulnérabilité endothéliale préexiste à l’infection.
— Le glycocalyx est la clé de voûte physiopathologique qui relie terrain, environnement et inflammation aiguë.
La politique de santé publique doit abandonner l’hypothèse virale et intégrer les facteurs réels, mesurables et modifiables que sont :
— la qualité de l’air,
— le contrôle métabolique des populations,
— la réduction de l’exposition chronique aux PM ultrafines,
— la restauration du redox et du glycocalyx vasculaire.
La santé publique ne progressera pas en dissimulant les mécanismes biologiques fondamentaux. C’est en les affrontant que l’on pourra réduire significativement la mortalité respiratoire liée aux facteurs environnementaux. Le moment est venu de sortir du déni scientifique.