Commentaire de Julian Dalrimple-sikes
sur Le « compte à rebours » a commencé pour Israël. L'Arabie saoudite, au centre du grand jeu mondial


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Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 19 mai 09:37

Quos vult perdere Jupiter dementat.

« Quand Jupiter veut perdre un homme, il lui ôte la raison ».

ou « Ceux que Dieu veut détruire, il les rend d’abord fous ».

piqué ici : https://fr.sott.net/article/43874-Ceux-que-les-Dieux-veulent-detruire

Le dicton « Les Dieux commencent par rendre fous ceux qu’ils veulent anéantir », parfois cité en latin par Quos Deus vult perdere, prius dementat (littéralement : Ceux que Dieu veut détruire, il les prive d’abord de raison), 

a pris une résonance inquiétante dans le monde d’aujourd’hui. Alors que je suis assise ici, réfléchissant au chaos qui semble engloutir chaque aspect de notre existence, il est difficile d’ignorer les parallèles entre cette sagesse ancienne et la folie moderne qui sévit de manière incontrôlable à travers le monde.

Et la référence unique du fou comme du non fou , si cela existe, étant ma folie comme son absence, MOI, ma mémoire, mon analyse, etc tout va bien à ses/nos yeux, jusqu’à ce que un événement impossible, imprévu, qui ne peut exister se produise mettant fin à l’illusion de cette matrice mentale appelée pensée par elle même..etc comme aussi bien sur la mort qui arrive au détours d’un chemin toujours glorieux, certes pour le fou elle n’existe pas..

et comme la pensée est toujours du passé, moi et la mort , toujours du présent ne se rencontrent jamais, marrant ça comme la vie !! Hum étrange !!

bien sur on peut passer des millénaires à se demander le sens de « fou », meme chose pour « con » etc

LA mort n’existe pas

sauf celle des autres.

Si vis pacem para panem..


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