Commentaire de Giuseppe di Bella di Santa Sofia
sur Derrière le masque du baron : Gilles de Rais, compagnon d'armes de Jeanne d'Arc et prédateur d'enfants
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Bonjour @Seth,
C’est justement la réponse que je viens de faire à @Gégène. La justice ecclésiastique était moins partiale que la justice royale mais, effectivement, il fallait que les crimes soient vraiment terribles. Ici, on parle quand même de plusieurs dizaines à plusieurs centaines d’enfants. Il fallait faire un exemple, comme ce fut le cas pour la comtesse hongroise Élisabeth Báthory.