Commentaire de gem
sur Propositions pour conjurer la crise sociale...
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
D’abord il ne s’agit pas de savoir ce que fait la majorité, grande ou petite, mais de savoir ce que fait chaque étranger. Individuellement. Noter que sans préjuger, quelqu’un qui viole déjà les lois sur l’immigration est forcément un peu suspect pour les autres, les « importantes » ; par exemple les lois du travail et les lois fiscales (maintenant, si vous bénissez ceux qui se foutent du code du travail et du code des impots, faut le dire...).
Votre haine du premier ministre vous égard ; il est bien clair que ce n’est pas parce qu’il viole une loi que cela abroge l’ensemble des lois. En plus, techniquement parlant, la loi à laquelle vous faites allusion est nulle : elle est inconstitutionnelle et inapplicable ; elle fait partie de ce corpus de grandes déclarations solennelles qui ont leur place en préambule d’une loi (voire dans la constitution, si on veut lui donner une force générale), mais pas dans son texte normatif.
Les lois sont les nôtres et non les leurs : les étrangers n’ont pas le droit de vote (par définition !).
Votre point 2 est une affirmation sans preuve, je n’ose dire « gratuite » car elle coute cher ! Les étrangers dont on parle ne sont pas des riches capitalistes qui vivent de rentes (ceux-là, ils ont un titre de séjour et leurs gosses sont dans d’autres écoles...). Ce sont des gens qui bossent dans l’illégalité. Quand ils bossent. Certains rapportent plus qu’ils ne coutent : je dis qu’ils sont les bienvenus. Les autres coutent plus qu’ils ne rapporte : je dis que leur présence est plus discutable.