lundi 30 mars 2015 - par fatizo

James Bay, l’avenir du rock anglais

Une gueule, un timbre de voix bien particulier, excellent guitariste, des mélodies folkteintées de rock, et inversement, ce jeune anglais de 23 ans a tout ce qu’il faut pour que l’on parle de lui pendant de longues années.

Après plusieurs EP qui l’ont déjà fait connaitre dans son pays d’origine, c’est aujourd’hui avec un premier album très réussi, « Chaos and the calm », enregistré à Nashville, qu’il compte conquérir un public plus large.

Voici ce qu’il dit de sa musique : « J’essaye de conserver le côté humain et intime de ma musique. Ce n’est pas évident de savoir où se situe le bon équilibre, mais ça s’entend tout de suite. J’essaye de faire ressentir des choses aux gens avec mes chansons, et, si j’ai de la chance, de les toucher réellement »

Né le 4 September 1990 à Hitchin en Angleterre, il grandit dans un univers où la musique est très présente. Il découvre une guitare dans la chambre d’amis et commence à en jouer dès l’age de 11 ans. Il écrit ses premières chansons à 15 ans. Il continue de jouer de la musique tout en étant barman.

A la maison, maman était en haut qui écoutait Ray Charles, Aretha Franklin et Michael Jackson. Papa était en bas qui baignait dans Fleetwood Mac, les Rolling Stones et Bruce Springsteen.

Plongé dans une telle ambiance, le rejeton n’avait pas le droit à l’erreur. Ajoutons-y une sensibilité et les qualités citées plus haut, et vous aurez le résultat suivant….

 

« Hold back the river »

 

 «  Let it go »

 

« If you ever want to be in love »

 

« Scars ».



8 réactions


  • vesjem vesjem 31 mars 2015 00:25

    de la pseudo-musique désuète , comparée à la richesse harmonique et rythmique DES musiques celtiques ou bretonnes ou classiques ou rock progressif (rock bottom , soft machine etc...) ;
    je sais malgré tout que le chemin est long pour évoluer d’une musique enfantine aux musiques complexes et harmonieuses ;
    puisse l’auteur évoluer rapidement , pour son extase personnelle


  • totof totof 31 mars 2015 11:20

    Insignifiant, comme tout ce qui nous vient de la Perfide Albion. Paroles vides, aucune idée de ce qu’est la poésie, musique standardisée, préfabriquée. Encore une fois, sortons-nous de la sphère d’influence de nos maîtres anglo-saxons qui ne font que nous abrutir et nous rendre superficiels.


    • bourrico6 31 mars 2015 11:39

      @totof

      Insignifiant, comme tout ce qui nous vient de la Perfide Albion.

      Sans blague, qu’est ce qu’on devrait dire de nous alors....

      C’est quoi les artistes de portée internationale en France ? Mireille Mathieu ?


    • totof totof 31 mars 2015 14:18

      @bourrico6
      Maintenant que nos imaginaires sont colonisés, il n’y a effectivement pas mieux chez nous que chez nos maîtres. La plupart de nos jeunes francophones nomment d’ailleurs leurs groupes de musiques dans la langue de ceux qui nous ont (provisoirement ?) vaincu. Mais cela n’est le cas que depuis les années 80.
      Ceci dit, ce n’est pas parce que les français, en particulier la jeunesse, sont acquis à la culture de leurs maîtres et ne font rien de mieux qu’eux, que cette culture dominante en devient quelque chose de bien.


    • totof totof 31 mars 2015 14:21

      @bourrico6
      Accessoirement, j’ai vu comment les anglais voient les français qui chantent en anglais. Ca les fait marrer. Hé ! C’est normal, ils ne sont pas débiles, eux... Ils ont compris que l’industrie culturelle de leur pays l’a emporté !


    • bourrico6 31 mars 2015 14:28

      @totof

      Et oui, nos trucs sont assez pourris.
      Nous avons la chanson Française, celle à texte ou celle destinée à faire du cash, ça marche, mais ça reste national.

      Ceci dit, ça ne veut pas dire que j’apprécie le machin posté dans l’article, loin de la.


    • totof totof 31 mars 2015 14:41

      @bourrico6
      Ben oui, du coup on peut dire qu’on tombe finalement d’accord.


    • bourrico6 31 mars 2015 14:47

      @totof

      Disons que je trouve plus coupables les Amerloques que les Anglais dans cette histoire, car même s’ils ont l’avantage de la langue, ils n’ont pas le rouleau compresseur « culturel » US, et arrivent à faire des trucs qui se détachent.
      Pour rester dans le thème « rock », je pense notamment au Punk ou à Iron Maiden.


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