mercredi 13 octobre 2021 - par Sylvain Rakotoarison

Le centenaire d’Yves Montand l’engagé

« Tout ce qu’on peut dire et tout ce qu’on peut faire, en définitive : c’est vous, et vous seul qui trouverez la solution. Il n’y a pas de sauveur suprême, il n’y a pas de super caïd, il n’y a pas de superman. C’est vous ! Prenez-vous par la main, sachez ce que vous voulez, demandez-le, voyons ce qu’on peut faire, et avancez ! Alors, ou on aura la crise, ou on sortira de la crise, et dans les deux cas, on aura ce qu’on mérite. » (Yves Montand, le 22 février 1984 sur Antenne 2).



Cela fait 100 ans que le chanteur et acteur français Yves Montand est né, le 13 novembre 1921, la génération terrible de ceux qui avaient 20 ans sous l’Occupation. À cette époque, Yves Montand, petit artiste venant d’Italie (sa famille d’origine modeste a fui les fascistes quand il avait 2 ans et s’est exilée à Marseille, d’où l’accent marseillais qu’il pouvait perdre parfois), commençait dans un cabaret marseillais "L’Alcazar". Il a vraiment fait décoller sa carrière artistique en été 1941.

Pendant cinquante ans, Yves Montand a poursuivi ainsi une immense carrière de chanteur d’abord, puis d’acteur (mais il a commencé à peu près en même temps la scène et le cinéma). J’y reviendrai un peu plus loin. Auparavant, je voudrais évoquer le Yves Montand engagé : avec Simone Signoret, ils formaient le couple d’intellectuels engagés par excellence pendant des décennies (ils reposent tous les deux dans la même tombe au Père-Lachaise à Paris). Leur couple (marié en décembre 1951) n’était pas un long fleuve tranquille, surtout avec ce qu’a subi la fille adoptive d’Yves Montand (Catherine Allégret).

Je me suis toujours posé la question de cette volonté de s’engager alors qu’un artiste aurait plutôt besoin d’être consensuel, et l’engagement est rarement fédérateur, surtout à l’époque d’après-guerre du choc des idéologies. Une explication (qui reste à prouver) serait qu’à 20 ans, justement, Yves Montand ne s’est pas engagé alors que beaucoup de sa génération s’étaient engagés dans la Résistance. Lui était (encore) loin de Paris (qu’il aurait gagné en 1944 pour échapper au STO ?), et aurait plutôt continué à chanter (avec succès à partir de 1941), faisant surtout attention que son nom de famille, Livi, ne fût pas considéré comme une déformation d’un nom juif, Lévy (auquel cas il risquait la déportation).

Cette période reste toujours incertaine et si je l’évoque, c’est juste pour poser des questions et moi-même je serais incapable de répondre réellement à la question sur ce que j’aurais fait dans un tel contexte (bien sûr, après coup, c’est toujours facile de dire qu’on choisit le bon le camp, mais en situation, c’était difficile d’avoir une bonne vision des choses, ce qui n’a pas empêché, heureusement, que certains l’aient eue).

Toujours est-il qu’après la guerre, Yves Montand a été séduit temporairement par le stalinisme et par le communisme dont sa famille était issue. Il a fait notamment une tournée mémorable en URSS. Mais la lucidité l’a emporté sur l’aveuglément, et Yves Montand a eu le courage de rejeter cette idéologie mortifère, ce que beaucoup d’intellectuels n’ont pas su ni peut-être osé faire, orgueil aidant (c’est toujours très difficile de reconnaître qu’on a eu tort).

Son engagement pour les droits de l’homme et la démocratie est resté en revanche intact et constant, ce qui a expliqué son soutien au peuple chilien après le coup d’État de Pinochet et la répression sanglante qui a suivi. Du reste, il a joué dans beaucoup de films "engagés" (en particulier de Costa-Gavras, mais pas seulement) qui dénonçaient les atteintes à la démocratie et aux libertés, ainsi que la répression et les crimes de régimes autoritaires (communistes avec "L’Aveu" ou non, comme "Z").

Plus curieux fut son intérêt pour le libéralisme économique dans les années 1980, dans un contexte de politique internationale qui s’y prêtait bien (alors que les années 1970 étaient celles des travaillistes ou sociaux-démocrates). Certains ont pensé qu’Yves Montand aurait voulu être le Reagan français.

Il a en particulier animé une émission politique et économique assez intéressante, le 22 février 1984 sur Antenne 2, intitulée "Vive la crise !", regardée par 20 millions de Français (c’était énorme). Dans cette émission scénarisée par Jean-Claude Guillebaud et Laurent Joffrin, il assurait que la crise économique durable entraînerait un changement profond des mentalités, des risques pour la démocratie (les propos de l’historien Henri Amouroux sur l’année 2014, trente ans plus tard, sont assez frustrants et décevants car l’émission n’a pas osé faire beaucoup d’anticipation). À la fin de l’émission, Yves Montand, qui a pourfendu toutes les recettes miracles et les yaka fokon, insistait sur l’importance de la volonté individuelle et de l’envie d’entreprendre de chacun (en gros : ne vous reposez sur personne d’autres que sur vous !).

J’avais déjà évoqué assez précisément cette émission dans laquelle participaient, entre autres, Alain Minc, Christine Ockrent et Michel Albert. En revanche, l’INA (à ma connaissance) n’avait pas encore mis à disposition du public la totalité de l’émission que je propose donc maintenant ici.





Le journaliste Patrick Cohen a également rediffusé cette émission marquante dans sa série "Rembob’INA" sur la chaîne parlementaire LCP. Cette émission était scénarisée et c’est donc difficile de dire que c’était un documentaire, comme il était difficile de dire qu’Yves Montand était un présentateur, il n’était qu’un "acteur" et il n’était pas d’ailleurs le premier prévu (Bernard Pivot avait initialement refusé de se prêter au jeu).

Quelques mois plus tard, le 18 avril 1985, une autre émission "La guerre en face" était diffusée sur FR3. Du même style et scénarisée avec les mêmes, elle était aussi animée par Yves Montand qui évoquait, à la place de l’économie, la géopolitique et imaginait des nouveaux boat people comme nouvelle vague migratoire (ce qui semblait s’être passé trente ans plus tard avec les réfugiés syriens en Méditerranée). Dans cette seconde émission participait notamment un expert en géopolitique, Pierre Lellouche, devenu plus tard député et ministre.

Peut-être que cette animation d’émissions qui se voulait percutante (mais qui a beaucoup vieilli avec un ton qui gêne beaucoup, car il est prétentieux, il veut faire croire qu’il ouvre les yeux à son auditoire, ce qui est assez condescendant, paternaliste voire présomptueux) a beaucoup joué en faveur d’une hypothèse folle : Yves Montand voudrait être candidat à l’élection présidentielle de 1988.

Je suis à peu près convaincu que même avec l’incertitude de la candidature de François Mitterrand, dans une classe politique encore très traditionnelle bien que bousculée par l’irruption de Jean-Marie Le Pen, avec un trop plein de candidats dans le camp supposé libéral (Raymond Barre et Jacques Chirac rassemblaient plus de 40% des intentions de vote dans les sondages), je suis à peu près convaincu que pour Yves Montand, il n’avait jamais été question de candidature (au contraire de Coluche en 1981).



Néanmoins, il a semblé laisser germer le doute pendant plusieurs années, si bien que la journaliste Anne Sinclair l’a invité dans son émission politique de grande audience "Questions à domicile", devenue pour l’occasion "Montand à domicile", exceptionnellement tenue un samedi au lieu du jeudi, le 12 décembre 1987 sur TF1, dans le grand amphithéâtre de l’École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) à Cergy-Pontoise, devant sept cents étudiants et professeurs. Sur consigne de la chaîne de télévision privatisée pour faire le plein d’audience pour ses spots publicitaires, Yves Montand a attendu la fin de l’émission pour annoncer qu’il ne serait pas candidat à l’élection présidentielle. Une polémique est née ensuite en raison du cachet de 800 000 francs que l’acteur chanteur avait reçu de TF1, cachet qu’il avait redistribué dans sa presque totalité dans des œuvres caritatives et dans les taxes et impôts.

Ses engagements plus ou moins sincères ne doivent de toute façon pas faire oublier le grand chanteur et le grand acteur (sans César attribué pourtant) qu’Yves Montand a été et restera, puisque les enregistrements lui permettent de rester hors du temps.

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Dans l’acteur (et aussi le chanteur), il y avait parfois le séducteur, le séducteur agaçant, celui sur qui on ne peut pas compter, qui frime, ment, parade, fait le paon, parfois trop, et peut-être même dans la vie réelle quand il a tourné aux États-Unis le film "Le Milliardaire" de George Cukor (sorti le 8 septembre 1960) avec Marilyn Monroe avec qui il a eu une liaison. Ses personnages étaient de ce genre dans des films comme "La Folie des grandeurs" de Gérard Oury (sorti le 8 décembre 1971) avec Louis de Funès et l’impayable Alice Sapritch ; "Le Sauvage" de Jean-Paul Rappeneau (sorti le 1975) avec Catherine Deneuve et Luigi Vannucchi ; "Tout feu tout flamme" de Jean-Paul Rappeneau (sorti le 13 janvier 1982) avec Isabelle Adjani, Alain Souchon et Jean-Luc Bideau.

Yves Montand jouait aussi dans des films "sérieux", engagés, à forte moralité, à dénonciation politique, etc. comme "Z" de Costa-Gavras (sorti le 1969) avec Jean-Louis Trintignant, Charles Denner, Irène Papas, Jean Bouise, Bernard Fresson, Jacques Perrin, Pierre Dux, Julien Guiomar, François Périer, etc., qui reprend l’histoire vraie du régime des colonels en Grèce ; "L’Aveu" de Casta-Gavras (sorti le 29 avril 1970) avec Simone Signoret, Jean Bouise, aussi Michel Robin et Jacques Rispal, etc., qui reprend les procès de Prague ; "I… comme Icare" d’Henri Verneuil (sorti le 19 décembre 1979) avec (entre autres) Roland Blanche, qui raconte une enquête sur l’assassinat politique d’un chef d’État progressiste dans une Amérique latine instable, avec l’excellente scène qui montre l’expérience de Milgram (qui a été tournée dans un amphi de l’ESSEC à Cergy-Pontoise).

Au-delà des films politiques, Yves Montand a tenu des rôles parfois étonnants ou éclatants, comme dans "Le Salaire de la peur" d’Henri-Georges Clouzot (sort le 22 avril 1953) avec Charles Vanel ; "La Menace" d’Alain Corneau (sorti le 28 septembre 1977), avec Marie Dubois, Carole Laure et Jean-François Balmer (excellent "thriller", comme on dit maintenant).

Enfin, disons-le, j’ai peu apprécié le Papet dans la série pourtant à grand succès des Pagnol réalisés par Claude Berri, "Jean de Florette" (sorti le 27 août 1986) et "Manon des sources" (sorti le 19 novembre 1986), avec Gérard Depardieu, Daniel Auteuil, Emmanuelle Béart, Hippolyte Girardot, Ticky Holgado, etc. Peut-être trop cabotin ?

Terminons par le grand chanteur sur deux morceaux que j’apprécie particulièrement, car il redonne l’ambiance d’une société à jamais révolue (et que je n’ai pas connue sinon par des effets miroirs !), celle des années 1950, peut-être compliquées par la reconstruction mais tellement simples quand on connaît les enjeux d’aujourd’hui, en particulier pour les jeunes étudiants en pleine période de covid-19 et de crise économique.


1. "À bicyclette" :






2. "À Paris" :






Aussi sur le blog.

Sylvain Rakotoarison (09 octobre 2021)
http://www.rakotoarison.eu


Pour aller plus loin :
Yves Montand et la crise.
Yves Montand.
Nicole Croisille.
Bernard Tapie.
Marie-Anne Chazel.
Marthe Mercadier.
Jean-Paul Belmondo.
Cédric Klapisch.
Philippe Labro.
Adrian Monk.
Patrick Bouchitey.
Philippe Léotard.
Romain Goupil.
Isabelle Carré.
Claude Piéplu.
Michael Lonsdale.
Jean-Pierre Bacri.
Gérard Jugnot.
Alain Delon.
Alfred Hitchcock.
Brigitte Bardot.
Charlie Chaplin.

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35 réactions


  • robert 13 octobre 2021 17:59

    et voici les morts-morts, là c’est inépuisable.


  • robert 13 octobre 2021 18:00

    et voici les morts-morts, sujet inépuisable....


  • ETTORE ETTORE 13 octobre 2021 18:06

    Dites Rakotonanobis....Vous dopez à quoi, pour ne plus ressentir les ampoules aux doigts ?

    Parce que, enterrer, déterrer, graver les pierres, écrire les éloges, faire ses platitudes à son « maître rubanisé » pas très urbain.......

    De quoi en devenir (Mac)rond, et ressembler, à une queue de pelle !


  • Xenozoid Xenozoid 13 octobre 2021 18:11

    surely avx has a mind of his own....lol ils en ont fait la promo ici au pays bas


    • Xenozoid Xenozoid 13 octobre 2021 18:16

      @Xenozoid

      il y avait une nana fan qui disait qu’il n’était pas comme depardieu et n’aurrait.... jamais serrer la main a poutine,etc etc...hallucinant...tout en disant qu’il était pret du petit 2x hallucinnant


    • Xenozoid Xenozoid 13 octobre 2021 18:18

      @Xenozoid

      en fait tout n’était que du sallisage de la russie sous l’excuse des 100 ans de montand


    • Xenozoid Xenozoid 13 octobre 2021 18:26

      @Xenozoid

      je signal que aux pays bas la propagande,et celle antirusse,ne fait pas pale figure avec la france,et que ici aussi on ce fout de leurs gueule...mais la recette est différente,et le menu aussi,chaque pays adapte sa population,ce qui arrait pu être une erreur, ne l’est plus....


  • Clocel Clocel 13 octobre 2021 18:23

    "La crise ? Quelle crise ?)

    Que Belzébuth lui rissole bien les couilles à cette enflure...


  • uleskiserge uleskiserge 13 octobre 2021 19:23

    Montand et Signoret (un temps proches de tous les PC européens) ont fini chez Reagan, invités de la Maison Blanche ; Montand... avec un gros flingue à la main dans « Police python » pour mieux abattre d’une balle dans le dos un braqueur qui prenait la fuite. ......................... La vieillesse est un naufrage ; et pour d’aucuns, ce naufrage commence très tôt.... une fois passée la cinquantaine ; de naufrage on passe alors à la noyade.

     

     


    • titi titi 13 octobre 2021 21:46

      @uleskiserge

      J’ai bien aimé ce passage dans l’article « la lucidité l’a emporté sur l’aveuglément »

      Trouver en 2021 des gens qui justifie encore Staline, le Printemps de Prague, et autres crimes, ça me laisse pantois.


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 13 octobre 2021 21:55

      @titi
      Le Serge il est capable de pire a mon avis ...c’est encore un p’tit jeune .


    • Aristide Aristide 14 octobre 2021 08:47

      @uleskiserge

      une fois passée la cinquantaine ; de naufrage on passe alors à la noyade.

       

      Vous avez quel âge ?


  • uleskiserge uleskiserge 13 octobre 2021 19:25

    Qu’est ce que fait ce billet sur Agoravox... on se le demande.


  • Gégène Gégène 14 octobre 2021 07:45

    Dans les films politiques avec Montand, on cite invariablement « L’Aveu »,

    mais jamais au grand jamais « Etat de siège » . . . comme c’est bizarre !!!

    Sur les relations avec les communistes, certains vieux communistes

    révélaient que ce type s’était SURTOUT servi d’eux pour sa promotion.

    En résumé, un bon acteur, certes, mais un mec pas bien intéressant smiley


    • Gégène Gégène 14 octobre 2021 08:47

      @voxa

      mais les gens oublient souvent (toujours ?) que le métier du comédien est de tromper le spectateur !


    • Aristide Aristide 14 octobre 2021 08:55

      @voxa

      Les artistes ont un égo assez démesuré, il n’y a pas grand étonnement à les voir se poser en modèle, donner des leçons, ...

      Arditi est la caricature assez représentative du camp du bien, ce n’est pas le seul mais je le trouve assez cucu pour le signaler en tant qu’icone de la prétention et de l’autosatisfaction ...


    • Gégène Gégène 14 octobre 2021 09:05

      @Aristide

      Juliette Binoche est indépassable à ce jeu-là . . .


    • Aristide Aristide 14 octobre 2021 11:13

      @Gégène

      Vous avez raison, mais si c’était seulement limité à quelques prétentieux ce ne serait pas trop grave. Malheureusement, on voit défiler sur tous les médias ces donneurs de leçons, ces engagés de la radicalité, ces redresseurs de torts .... 

      Comme disait Audiard sur les marins « C’est curieux chez les artistes, ce besoin de faire des phrases ! »


  • zygzornifle zygzornifle 14 octobre 2021 09:09

    La nuit Rakoto avec son stylo en guise de pieu comme dans Buffy et les Vampires écume les cimetières a la recherche des illustres défunts, il ne fait pas dans la fosse commune mais dans le mausolée ....


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 14 octobre 2021 09:17

    Je pense qu’il vaut mieux éluder le sujet. Surtout après avoir lu le livre de Catherine Allegret. Rako, l’éthique à géométrie très variable...


    • chantecler chantecler 14 octobre 2021 20:04

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      Vous vous rendez compte que votre commentaire est complètement idiot ?
      Vous tirez une généralité à partir de votre lecture d’un livre , de votre avis , qui n’est probablement pas partagé alors que des livres sur Yves Montand il y en a pléthore en passant par ceux de Simone Signoret ...
      De plus le : « je pense qu’il vaut mieux éluder le sujet » est un comble de sottise .
      S’il vous le pensez réellement , n’en parlez pas .


  • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 octobre 2021 12:52

    @l’auteur,

     Votre billet m’a rappelé des souvenirs de 2015.

     J’étais en vacances à Montecatini et je parle de Montant et de là où il est né et à vécu.

    A 4 kms au SE de Montecatini, Monsummano  naquit en 1921, Ivo Livi, mieux connu sous le nom d’Yves Montand. Mais c’est le poète Giuseppe Giusti, plus honoré, qui a laissé son nom à une grotte thermale avec celle de la Parlanti. 

    J’y suis allé un matin de jogging pour y sentir l’ambiance et non pour visiter les grottes qui, à cette heure matinale, ne sont pas ouvertes au public.

    Ce jogging m’a laissé un souvenir amère : une chute dont je ne voulais pas laisser de trace en rentrant à l’hôtel. Du sang à laver d’urgence et ce fut résolu.


     


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 octobre 2021 13:20

      Merci pour le rappel de la vidéo sur la crise.
      Je l’ai revue.
      Les crises, un sujet à répétition. 


    • troletbuse troletbuse 14 octobre 2021 13:22

      @Réflexions du Miroir
      Franchement, on s’en branle


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 octobre 2021 19:38

      @troletbuse,
        Sais-tu l’avantage d’avoir quelques piges de plus ?
        C’est de savoir qu’est-ce qui est à la source des situations que tu connais toi et moi, aujourd’hui.
        Tu t’en branles... Je m’en doutais, Tu resteras un ignorant qui s’ignore.


    • Xenozoid Xenozoid 14 octobre 2021 19:44

      @Réflexions du Miroir

      guy l’excuse comme quoi tu as plus vécu, ne tient pas, il n’y a rien qui prouve que tu es plus con qu’un jeune, et encore moins con,moi j’ai une theorie

      ce n’est pas l’homme qui change, c’est son passé


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 octobre 2021 19:44

      Figure-tu que ce rappel est venu s’ajouter à mon dernier billet qui parle d’un sondage « Bye-bye démocratie ? » 

      Comment veux-tu qu’on s’intéresse à toi ?

      Pour moi, tu peux végéter dans ta merde.

      C’est bizarre, non ?


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 octobre 2021 19:46

      J’adressais mon com précédent à troleybus bien sûr.


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 octobre 2021 20:02

      @Xenozoid
        Exact.
        Une citation sur le souvenir,
        « “L’érudition, c’est la mémoire et la mémoire, c’est l’imagination.” »


    • Xenozoid Xenozoid 14 octobre 2021 20:09

      @Réflexions du Miroir

      ce qui explique, certain qui reste jeune,et d’autres qui sont toujours vieux


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 octobre 2021 20:16

      @L’auteur,
       Pour ajouter à votre billet...
       Ce soir, sur FR3 « Montand est à nous ».
       Il y a l’anniversaire du centenaire de Montand, mais il y a aussi le trentenaire de sa disparition.
       Un immigré italien, fasciné par l’Amérique.
       De l’Alcazar de Marseille au Métropolitan Opera de New York, il a été un personnage haut en couleur décrit par Yves Jeuland qui avait parlé d’un autre personnage qui avait déjà documenté la vie de « Charlie Chaplin, le génie de la liberté ». 


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 14 octobre 2021 14:24

    La gauche pédophile. COMBIEN ??????


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